samedi 5 février 2011

Coquin de chat

Le mien s'appelle Pilou.
Ici, je dis le mien comme je dirais le tien : un chat n'est à personne : il est à tout le monde.
C'est l'évidence même :
que ceux qui ne sont pas d'accord lèvent le doigt :
j'ai des pommes à lancer dans les dis mille de mon p'tit sac, sLv.
Bref, comme dirait le singe du bronx qui bit aux pas répétitifs pour deux sous du kandirathon,
surfant radiateur étroit de son pas sûr, demi tour, OUHAAA ! t'as vu comment il fait ça ! j'ai un serpent à la maison ! ! !
Bref, pas de pépin, il me claque sa queue comme un coup de fouet sur la vitre.
On dirait une plume. Les poils terminaux en ont inxcrits les ultimes barbes.
Je joue un peu à l'appareil photo : je me déplace entre la transparence de la condensation essuyée et le paysage extérieur sombre sous l'éclat du ciel.

Puis je m'assoie. Je contemple les gouttes qui sortent de la plume.
Elles sont deux.
Elles se suivent.
Paralailes
Elles se suivent comme deux rivières préparant leurs premiers lits
comme deux oiseaux leur dis millième vol
deux poissons un gros un petit

Où crois-tu qu'elles vont selon tes critères liés à ton évolution ?
Ben en bas.
Pas besoin de sortir de St Cyr la mare à Ste marie pop'signe



oh mon Dieu !
Ces deux ans...
Qu'est-ce que que j'ai pu rigoler !

J'en rigole encore.
Quand j'entendais la fibrillation distinguée de vos armes sur la table,
en me disant top chrono y'a le ballot qui trambble du scrountch tatayoyo kit&tchak !

Bien sûr l'effet kiss cool.

Mes mots, mes mozimages perdues
parce que voyant un agent lavant, un flic des basses fosses communes, je le traitais très poliment suivant son rang de néonazique affiché à mes yeux, ce qui provoquait ma générale censure par peur d'un scandale planétaire, je ne vois guère que ça comme raison.

Et un néonazique de plus
dans la cohorte, lié à l'obscurantisme des ombres qu'il venait de défendre d'une main de fer.

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