jeudi 2 février 2012

3

Faut être trois. \|/ .A ciel ouvert

...je crois à cette expérience informulée.

z'êtes trop cons à réfléchir tous seuls avec des armes entre les mains



ie leurs avais installé 3 e~ricochets Dan.l'O

http://et123.free.fr/ericchetdanlo

Agora libre sans censure

en rai d'union

.

A

nous

( moi + Autre )

- cauchemar anazizis -

] - mille girouettes aux arraches cent axes - [


*


~ 08/2008   Sculp à tordre pour 3 pts min. au sol & 3D+

Faut faire voter les enfants,
dès qu'ils naissent.
pour que ceux qui ont en vue la vie,
soient plus nombreux que ceux qui préservent leur confort,
pour changer le regard que tu portes sur le monde, sur l'autre et sur les autres.

Pahaña

samedi 11 juin 2011

Maïs

Brume de texte, couleurs des vents
oh Seigneur ! je ne vois plus mes mains !

j'ai posé sur leurs tables mille luisants de Temps
quand d'une cène ils firent mille vains festins à faire fiers
Oiseaux moignons d'ailes poissons affamés insatiables et cruels

Aucune rive ne les apaise, aucun gouffre ne les inquiète
ils dévorent les lieux feux fous de combustions
ils brûlent criant encore toutes fins

nuages noirs de leurs âges égoïstes
je retourne d'eux porté aux Esprits qui m'ont fait naitre
je m'incline et raconte :

" je Vous avais demandé d'attendre, dit que les hommes allaient changer.
je ne sais de mon passage que leur refus total de poser les armes.
Ils s'associent de vanités en vanités les justifient sans mots.
L'orgueil dont ils s'enchainent plus rien ne les plie.
Maïs Armée des Limbes ! Où êtes-Vous ?
Feuilles tranchantes Grains dorés
oh ! cette Nuit où je rêvais
de mes larmes devenues sang
prenant en moi le dessein de Vous arrêter
croyant ignorant à l'Amour dans le coeur des hommes ."



Où êtes-Vous ?

Lam .



Où êtes-Vous ?

Min . niM



! Maïs !

un pour un

profond grandissant

morcelle leurs chairs ou brille



" Ce sera tout le monde ou personne "



03h08 il pleut de l'eau.
le temps de Le dire

dimanche 22 mai 2011

Mythologies inversées

La Bête de l'apocalypse, c'est toi + toi + ...

"Lorsque trois personnes sont assises pour juger, la présence divine est parmi elles."
Talmud




Oppression terrible dans ma poitrine, mon ventre, mon corps.
Quelque chose ne passe pas.
Depuis quand n'avais-je vécu cela sinon lors de ce rêve aux archives ?

http://pixelsdemehdi.blogspot.com/



dimanche 8 mai 2011

Plume



Cette semaine, un oiseau est venu taper à ma vitre.
Il y a laissé une petite plume que le vent finit par emporter.
Je ne crois pas qu'il soit mort. Il a du se faire mal, puis est reparti.
Que crois-tu qu'il me soit arrivé de plus important,
pour moi,
personnellement,
durant ce laps de temps ?

vendredi 29 avril 2011

Ca vache ? Ben wich... et toi ?


Excusez-moi si je délicate le vôtre essen'goûte que la photo elle aurait du être plus contrastée, 
moins grise, plus colorée, moins plus moins du plus en plus à ton plus, mais ! elle est ainsi.
Comme pour tout ce que je fais.
C'est la vue d'un pont où je me plaçais pour la prendre, 
pour la saisir dans la réalité proche où j'étais immergé.
J'aurais pu lever l'objectif au ciel graver  pixels de ces feuilles où dansaient charmes de lumière. J'aurais pu prendre ces canards chamailleurs jouant là, juste à côté.
J'aurais pu saisir cette patate insolite ou ce plastique inerte.
J'aurais pu immortaliser ce ragondin fendant l'eau toutes narines dehors tel crocodile du Nil.
J'aurai pu truc pu pûte encore mais ! 
C'est là et à cet instant et pas un autre que ie cliquâte the look machine.
Cet instant précis et incalculable où le pont se roula sur lui-même pour en donner l'image d'une trace de pas en miroir et transparence de l'eau.
Eau ma soeur douce, eau ma vie, danseuse radieuse regarde ! 
eau relief que teinte soleil : 
flux incessant de toi repère de mon  passage marqué aux mouvements de tes houles hallucinantes et enchantées.


Si je parlerai, si cela m'est permis, du wizzz ?
de cet endroit ou je vis s'engloutir une telle quantité de mon travail ?
Ce n'est même plus de la débilité à ton niveau : comment définir un truc pareil ?
Boum !
onecom L
Boum !
Her.mi.te
RâââAAATATATATATATATATA...
+ 14, 
quand on est chef, les détails de l'histoire importent peu. La raison du fer simplifie.
En plein milieu d'une société qui braille ses valeurs démocratiques, des droits de l'Homme, de l'individu ! de l'expression ! de la liberté ! de l'égalité ! comme justifiant toutes ses interventions sur la planète en modèle souverain et hégémonique, dont tu te fais l'acteur participatif actif et virulent.

Des jeux de rats pourris,
et armés.

Tu ne te vois toujours pas ?
T'es con, stupide, aveugle, ou les 3 à la fois ?

Tu aimes ça, critiquer les Grands n'est-ce pas ?
Ton miroir à réussite, à grandir arf ! arf ! parmi eux. Surtout pour eux.
Esclave merdique et pitoyable, armées de singes à graisser leurs culs en tous possibles.
Applaudir quand le géant américain élève un peuple de clans au milieu des clans pour combattre le gros méchant russe qui joue aux échecs avec des p'tites poupées.
Rompant brutalement un équilibre de cultures qui ne les avaient pas attendus pour s'épanouir et traverser les siècles en des conditions de vie qui n'avaient pas tout de simple.
Aboyer les Talibans quand ils s'aperçoivent qu'ils se sont fait niquer profond.
Pour ou avec des histoires de tuyaux.
Des salauds poses-burkas !
Mais c'est un scandale !
Que fait l'Sgt Botox !

Ben il balbutie dans les campagnes, tu sais, c'est son métier.

Et te voir refiler des miettes aux survivants de tes enfers,
pour Tapax où ils apprennent plus vite,
à ben fermer leurs gueules,
les chefs éduqués,
à te dire merci,
au Nom des Leurs.

pfff... toutes ses histoires, toujours les mêmes, l'high rumaniti touti broute broute...
Regarde un peu les résultats avant d'entrer dans leurs discours.
Qu'ont-ils changé depuis la dernière fois ?
Depuis Srebrenica ?
Tchernobyl ?

Kulture macht frei !
que je disais ce matin sur un blog, en point d'orgue d'une définition du " kapo " dans les camps de concentration nazis. Avant d'y être censuré rayé de la carte. Normal, ils ont le droit.
Direction moon colone !
Je ne te dis pas le nom du blog, vu le contexte, tu risquerais de mourir de rire.
Et pitié pour eux : je crois qu'ils en peuvent plus sur le wizzz, je ne t'énumère pas les abandons de quartier, on dirait que la volaille qui fait l'opinion ne sait plus où mettre ses plumes.
A moi tout seul, tut rends conte ? Simplement en refusant la censure,
et avec la bonhomie du tare-tarin.
Je ne me fais certes  pas d'illusions sur la force de ces macaques à se rosir les joues aussi vivement qu'un cul de babouin : ils me l'ont déjà démontré maintes fois, soies à plusieurs reprises.
Les ânes anonymes partent coolos bonbon mentos après avoir participé à toute cette merde en parfaite et belle convivialité, grandes amitiés polies et érudites, publiées en larges et en travers de porcs, très solidaires de ceux qui n'avaient pas eu l'intelligence de planquer leurs noms de citoyens comme ils auraient du le faire dans ce chouette univers de bisounours puants.

Tu veux rire à t'en péter les boyaux ?
Y'en a qui se montent le jabot à se dire victimes de l'inefficacité de leurs armes et de leurs développements systèmes.

 "les nazis, ça ose tout..."

 Ca marche pourtant, tu as ce que tu voulais :
que je parte de "chez toi ",
de ta cage.
/ Pôv'tache \
Je te rappelle que l'on est au XXIème siècle,
parce que tu n'as vraiment pas l'air d'être au courant de ça,
quand je te vois peaufiner le pire obscurantisme
de toute l'histoire de l'humanité.


Je me souviens de cette rigolade que l'on mimait à l'époque :
tu enlèves ta chaussure, souffle fumée de cigarette à l'intérieur et pose sur la table.
Visualise, c'est très insolite une pompe qui fume, surtout au milieu d'un repas.
Tu demandes à l'entourage ce que c'est, et en général, personne ne sait.
Alors quand tu sens un peu d'impatience, tu révèles tout gaz :

c'est un habitant de Sarajevo qui attendait le bus.


...chouette planète...
Alors la chouette, rapace animal nocturne, se trouve être le symbole de la sagesse chez les grecs parce que, virgule, contrairement au coucou qui fait "cou cou ! " elle fait " houe houe !", ce qui chez les esprits infl...

je t'ai déjà parlé de mon poto qui passa en sa tente une nuit à discuter avec sa chaussure ?
Je ne cherche même plus à savoir où j'ai écrit cela éou si ça a été effacé.
Quand tu donnes de ton temps dans leurs porcheries blanches...

jeudi 28 avril 2011

Tu me fais le livre

Je te parle et tu me fais le livre.

La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumettre, ce serait cesser d'être.

Citations de Henri Poincaré
La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes; parce que, pour elle se soumettre, ce serait cesser d'exister.
Henri Poincaré (1854-1912)
Toute la dignité de l'homme est dans la pensée; toute la dignité de la pensée est dans la mémoire. André Comte-Sponsville (1952- ) Petit traité des grandes vertus  
Telles que sont le plus souvent tes pensées, telle sera ton intelligence, car l'âme se colore par l'effet des pensées. (Livre V,16) 
Marc-Aurèle  Pensées pour moi-même 



En 1939 Frida Kahlo se rend à Paris à la grande exposition sur le Mexique organisée par le gouvernement Cardenas à la galerie Pierre Collé. Elle loge chez André Breton et rencontre les peintres Yves Tanguy, Picasso et Vassili Kandinsky. 
Elle n'aime pas Paris, qu'elle trouve sale, et la nourriture ne lui convient pas ; elle attrape une colibacillose. L'exposition lui déplaît : son avis est « qu'elle est envahie par cette bande de fils de putes lunatiques que sont les surréalistes, elle trouve superflue toute cette saloperie » exposée autour du Mexique. Par-dessus le marché, Pierre Collé refuse d'exposer les œuvres de Frida dans sa galerie, choqué par la crudité des tableaux. arf ! arf !
Dans une lettre à Louis Murray, elle fait part de son profond dégoût pour les intellectuels parisiens : « ils ont tellement de foutus intellectuels pourris que je ne peux plus les supporter. Ils sont vraiment trop pour moi. J'aimerais mieux m'asseoir par terre dans le marché de Toluca pour vendre des tortillas que d'avoir quoi que ce soit à voir avec ces connards artistiques de Paris… Je n'ai jamais vu Diego ni toi perdre leur temps à ces bavardages stupides et ces discussions intellectuelles. C'est pour ça que vous êtes de vrais hommes et non des artistes minables Bon sang ! ça valait la peine de venir jusqu'ici juste pour comprendre pourquoi l'Europe est en train de pourrir, pourquoi tous ces incapables sont la cause de tous les Hitler et les Mussolini. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Frida_Kahlo 
...en travers de son dernier tableau, peint juste avant de mourir, elle a écrit : « Viva la Vida »
Je crois qu'elle avait gagné le droit de le dire.


M°uletipotos mon amour

EMPRISE

Réseaux des ombres

C'est terrible de voir l'aveuglement, l'obstination à ne pas percevoir l'autre chez mes contemporains.
Parce que pour eux, l'autre, c'est aussi moi, il me semble.
Je dis que l'on m'a détruit 16 blogs, que le wizzz est constitué de porcs, et on me demande si je lis Pessoa, que ce que je fais est joli, que c'est rigolo de me maraver.
Comment réveiller un être pareil ?
Ils sont nombreux ainsi.
Sur leurs bancs, les discours continuent de fuser en de complètes aberrations, chacun y allant de son avis sur la vie en communauté, la fraternité, l'amour en ce monde, sur ce qu'il faut faire, être, la trique encore chaude de ma censure ou en vision de mon exclusion, de mes cris.
Quelques uns élèvent leurs gueules pour critiquer, émettre des avis  sur les comportements télévisuels d'hommes médiatiques, sans se rendre compte que ce qu'il s'est passé entre nous ne s'est pas passé au bout du monde ou dans les palais de la capitale : ça s'est passé chez eux et avec leur participation collective.

L'utilisation du web leur permet d'installer des réseaux secrets, aptes à satisfaire leurs instincts grégaires. Dès lors, la vie publique où leurs façades sont points d'orgues, phares tutélaires, devient d'une complexité telle que leurs expressions ne sont plus que le résultat de compromis lâches  à minima, coincés à domfe par des positions souterraines qui leurs donnent des forces d'ombres et se passent de  justifications, l'"amitié" en ces réseaux typo castor y pourvoyant par le nombre, la quantité prévalant sur la qualité.
"Tristes spectacles"



Parler avec eux ?
Des êtres totalitaires.
Très cruels sans le savoir.
Le signe de ralliement : heil ! c'est beau.
A partir de cette reconnaissance où rien n'est dit, alliance est faite, plus rien ne doit la compromettre, territoire. Des zizicuicuisses.
Ne pas déranger : ça mord tchac/

The patate on the world

Dans cette alliance sans aucun engagement, il n'y a évidement rien à défendre, sinon sa propre façade. Ne pas bouger la préserve, la censure aussi. Si l'un d'eux a un problème, personne ne va à son secours. y peut crever.
C'est la faute à personne, tu vois : rien ne dépasse.
Presque rien.


Ne donnant pratiquement pas de valeur à l'autre, ils ne peuvent en donner pratiquement aucune à eux-même. 
Miroir, dis-moi que je suis...

quand j'y faisais pwiiit ! sur le nez
ça y faisait total reflex
t'as bonne mine
maintenant
pas là
pala
la

" Le message, c'est le médium "
Tut crois le Marshall° du monde° ou koi ?
A tuer ce qui ne te sied pas
en plein agora
devant tout le monde

Schreeeeeeeeeeeeek !

Ils disaient "c'est un monde où nous nous aimons les uns les autres"
Hum... ah ouais ? et mon cul, c'est du poulet ?
C'était un jouet entre leurs mains
une boite de conserve
jetable


sdf
 homme femme enfant étranger français européen arabe con malin sportif intelligent cause devoir travail fric argent flouse et Dieu dans tout ça ? Plus là débarras force énergie jeunesse beauté 4x4 anti-ride raider traideur raideur traiteur bon pas bon à droite à gauche  y am or y love y am the king.
ok...
mais de quoi comment ?
Roi des rats dans la caverne d'Ali b-a Ba

Accrochés comme des sangsues aux armes noires qui les faisaient grandir.
Grandir !
ri ri ri ri, suis-je drôle.

Qui suis-je ?

et
qui suis-je ?
et
toi ?


mercredi 27 avril 2011

Cornes de nuit


flammes en flammes
cultures pièges où tu mors
pleines dents pleines griffes encornes
prends et brûles âme traine grammes & collé°
tu m'as pris ainsi soi-il qu'as-tu cru trancher là lu tout cru
ton sol et toi, ton sol et moi, efface l'un efface l'autre,
que reste-t-il mon zamiche ? un trou pignon
as-tu vu ce que j'ai vu le sais-tu
de ton point de vue
si hautain
haut tain de celui
qui dit : rien vu je n'ai entendu
hypocrypte devant l'Eternel athée c'est mieux
pour la brastique de l'élastique en toute proute de la Baltique
ruuu ! reste tranquille la bête : pardonné je t'ai déjà
tes poids là ne sont pas les miens
poils en multispires
non plus

Sitôt envolé tu meurs et retombe sur tes sources à bouffes pleines bourses
Nouvel élan qui ne durera guère plus que le précédent du précédent du précédent
ainsi de suite tant que tu bouffes tu crois que tu avances alors c'est que c'est du bon du bêle

Tu as fait un puits m'y as jeté
De là sort la Nuit
Elle est entrée en toi profonde et nef garantie
Elle est bien plus grande que tes errements psychorigides
Sauras-tu prendre ta chance ?
Je m'appelle 314

C'est parce que vous êtes devenus fous que je suis là

Avec des si, on mettrait Paris en bouteille, ok,
si un seul avait pu parler avec moi,
alors peut-être un autre,
puis un autre,
et puis...

Mets un mot paravent comme "parasite" devant un homme, ok,
explique-toi si tu as raison, et laisse-le répondre :
chez vous, les chambres 404 gaz
sont grandes ouvertes
aux silences
des cris

Ils sont intelligents les nazis,
ça dépend des options sur plateformes.
Il y a ceux qui s'aperçoivent que tu leurs as écrit,
se disent "trop tard, tout le monde a vu"
ils discutent et suppriment
avec parcimonie,
ici où là, 
gardent une insulte,
étalent leurs beaux discours,
piédestal où tu ne peux plus répondre.
Top classe ce meilleur de leur monde.

Y'a les boeuf'tchac

Y'a les distingus modératus,
j'en ai pratiqué, des coms, des coms !
jamais je n'apparaissais le kéké pourtant guidonné
avançait grandement grâce à moi sans un mot
le sens des partages en toutes splendeurs,
agora drapé grand blanc broutilandais,
sans déranger son auguste buste,
mots officiels d'un distingué
à te faire mourir de rire
le plus naze blasé
des polidiplodimates

Y'a les "je fais rien juste je coule le boat, oups ! tu es dedans t'avais qu'à pas être là"
Rooo la bonne bouille toutan courage !
Du psykopath à l'hara-kiri,
c'est drôle on s'marre
 pan dans canard
du chainé°

Y'a les "j'attends un peu demain j'le nique personne verra"
Rooo tropo fort oh libre Seigneur des grandes opignignions !

Y'a les purpor'tchacks

ALors dans ce bref tableau,
il est intéressant d'ajouter leurs thèmes,
leurs mots, ce qu'ils disent à la face du monde.
Quand on te censure sous un avatar qui gueule :
"Artiste censuré par notre gouvernement ! 
Scandale ! Abomination !"
Ca prend de l'épice,
forcément.
Ou, avec la larme à l'oeil :
"Liberté ! Toujours je chérirai ton nom !"
Aie aï aille j'en ai l'oignon qui pleure
Ou : Fraternité ! Partage ! Don !
Ouille là là ma couille
Ou : amour !
et encore et
Paix sur la Terre !
La poésie sauvera le Monde !

oui
mais où ?
Du côté de la tête
ou plutôt de l'autre corpus tranché ?
On dirait que tu t'es ancré à la guillotine d'atavismes
L'est super chouette ton marcel :
j'y ai vu tes bras
à la hache
et
ça te gêne
aux entoufourmures?


jeudi 21 avril 2011

Noir de monde





Aggloméré d'ombres
Roues figées grinçantes
armées & sans parole


Yarkkkkkkkkk !
C'est le cri d'un oiseau blessé de liberté
Celui qui frissonne les prisonniers du sol aux fers
Caressant leurs liens en signes d'exorcismes

Yarkkkkkkkkk !
C'est le cri solitaire au dessus d'une cage oubliée
Etait-ce trop tôt était-ce trop tard ?
Qui sait l'heure du Temps


Cage renversée gisant là sol effondré
Vide comme une mer esprits des vagues
Clapotant entre elles des finitudes rêveuses

Yarkkkkkkkkk !


C'était des morcelés
Des icônes par besoins
Un dieu pour chaque désir
Mille charpies d'incohérences
Leurs raisons sont sans problème
Pour eux, tu m'as compris hein ?
Parce que pour les autres...
Sont au-dessus de ça.

Roue bloquée un char ivre sur sa route tourbillon de toi
vers le haut vers le bas le sais-tu l'as-tu vu ?
Mâte le temps de sa poussière
hier si loin d'ici déjà
penser passé
de rien
roue
ta
look
Atonbelbook


Ps : j'ai lancé machine à publier, sLv

samedi 16 avril 2011

le verbe créateur




oh brillez ! Phares-à-On égarés
Elevez en lumières les enfants de vos nuits !
N'oubliez pas de leurs dire ce que vous avez tu et comment.
Nout tami lemen rayan chima naïa. O delem o remen, greniva soles min ?
Terem nazen giman filones treman. Reptena sembres direm ta. Gemil deya ta leos.
rum tami, repinema senima tenima, ores, gulimo tifa neïa depa, ropi, ay ti fane sela ya.
kiopo, telima foles tim frima zoles, tomo, filonema sirul tem goya ? Pokijo, kamenima delifor.
C'étaient des porcs.
Leurs terres étaient sans nous.


Ombres noires brouillard assassin
Les lames ont volées mots éperdus
Tourbillon là toutes essences sombrent
Remin ta ya selim féti men pila
o mout zena kima geb tami nat
retim volem penes ramen goïales
tam, restim golet devoles drim néa
felem zema na
retim moles gen
o pensi mena lebas te
moïa demines velenta tisa to
retomeni golem ti vel spines demeno

jeudi 14 avril 2011

Départ




Je ne peux pas être là-bas et ailleurs.
Je ne peux pas me taire à ce que je vois.
Je préfère regarder la mer de loin et ses vagues.

Je suis las d'attendre un signe de toi
Las de voir les vieux schémas se répéter encore et encore,
pour des finitudes annoncées d'avance,
mon travail offert à ton 404.

http://www.ipernity.com/doc/pixelbleu/4485013 

 Bon, ok, las,
ça ne fait pas très professionnel pour un derviche, j'en conviens.
En même temps, être derviche, ce n'est pas une profession.
Et pis, des fois, il t'arrive tellement de petits tracas,
que ton souffle n'en gonfle plus les joues,
que pour y faire danser tes lèvres,
en touti gloupote la charlotte.


~Eric !

goiriegtfjhgfmg... quelques gouttes dans le désert...
neuuu... encore un ajout antidaté, oh Seigneur des Mondes
y sont capables de croire que j'ai tout écrit dans le postériorizoto !


" ie m'ap pelle Moustaflâme,
ie suis né au ça à ram,
ie fais du tam tam
sur le cul de ma bonne fam..."

Ca serait pas un peu zahr'bi kan m^m ?

lundi 28 mars 2011

Photo de groupe

Coupant lien à ma parole
Je t'avais dit que tu ne pourrais pas me suivre.
Devenue vague parmi les autres
Aux mille murmures
&
Le vent coquin s'amuse
De tes dérives
. . .