lundi 28 mars 2011

Photo de groupe

Coupant lien à ma parole
Je t'avais dit que tu ne pourrais pas me suivre.
Devenue vague parmi les autres
Aux mille murmures
&
Le vent coquin s'amuse
De tes dérives
. . .

lundi 21 mars 2011

Carte 21

Honte à toi,
e-résident,
e-président,
bocal du Wizzz,
et qui vient ici par cette porte :
http://wizzz.telerama.fr/Martello/photos/3826407269,
chercher pour la nuit dans laquelle tu t'es enfermé(e) de quoi satisfaire ta soif de porc, celle dont tu espères et rêves qu'elle te fera maître auprès de tes semblables et de tes frères.






Quelle horreur que de les voir rentrer de leurs vacances de nantis, de princes kékéttes au seul mérite du  fric, de juges tous puissants  de maîtres en conscience du monde, de leurs " arts photographiques " qui s'étalent comme merde au soleil avec leurs raisons de poubelles dégénérées et sur lesquelles ton avis ne peut qu'être que sacrilège et objet de censure.
Gros con(e)  prétentieux, pétochard voleur d'images pour ton groin vécu de n'avoir rien appris de toutes ses dépenses dès lors stupides :  ie te merde à la face du monde comme la fiente pourrie que tu es.
P'tou(.

samedi 12 mars 2011

J'aurai aimé


J'aurai aimé mes mots en tes mots s'envolant au monde
J'aurai aimé tes toi mes moi en des pyramides cherchant Soleil
J'aurai aimé ton rire jaillissant fontaine d'éclats à mes rêves naissants
J'aurai aimé le silence des oiseaux planant du bouts des ailes debout au chant
Sol ( mille grains de sel se réunissent mille gouttes mercure magnétisées noir charbon

Petit peut-on

elle a raccroché. clic tchac prout. 150 fois, avec la confirmation, ce sont 300 clics pour nettoyer, purifier sa page d'une présence où je passais 9 jours à écrire, à peindre.
+  quelques coms d'autrui qui laisseraient supposer que quelqu'un manque.
"Quand on aime, on compte pas." dit-on.

Une femme d'intérieur koi.
Ca fait pas un pli

publié sur blog "les pixels de Mehdi", blog détruit par Télérama, Télérama.fr, wizzz & C@°/.

"- Oh ! ne les faites pas lever ! C'est le naufrage...

Ils surgissent, grondant comme des chats giflés,
Ouvrant lentement leurs omoplates, ô rage !
Tout leur pantalon bouffe à leurs reins boursouflés.

Et vous les écoutez, cognant leurs têtes chauves
Aux murs sombres, plaquant et plaquant leurs pieds tors,
Et leurs boutons d'habit sont des prunelles fauves
Qui vous accrochent l'oeil du fond des corridors !


Puis ils ont une main invisible qui tue :
Au retour, leur regard filtre ce venin noir
Qui charge l'oeil souffrant de la chienne battue,
Et vous suez pris dans un atroce entonnoir."
Rimbaud
c'est bien dit quand m^m hein ?

fff...


Et qu'est-ce que je fais de tout ça maintenant ?
Prendre le temps du limon qui de vase déposée rendra l'eau claire aux souvenirs de haut.
Si un ou une avait tenu face à la pression du groupe, alors je crois que beaucoup de choses auraient été différentes.
Ils auraient peut-être étés amenés à parler enfin de cette chape posée, de cet outil pervers à nuits de malheurs, de régressions, d'étalages de plus en plus habituel de lâchetés que l'on finit par ne même plus remarquer, par ne même plus être choqué, tellement On en est imprégné.

Avec des si, on mettrait Paris en bouteille à la rabâche d'un passé qui ne peut pas être-

Peut-on empêcher un poète d'écrire,
un musicien de jouer un chanteur de chanter ?
Peut-on arrêter une fleur qui s'épanouit et contemple le ciel ?
Peut-on arrêter un homme qui marche au fond d'un puits parce qu'il a connu le Soleil
Peut-on empêcher un parfum de grandir jusqu'à n'être plus rien qu'une idée qui passait par là ?

Alors je mets mes mains au bout de mes bras au bout de mon coeur,
et je tourne mon frère je tourne et choc c'est lent ; lent comme un battement naissant
ta tam
ta tam
et ce sont des flux infinis qui pulsent où vont mon être et mon âme
et ce sont masses aux gravités extrêmes prêtes à lacher
ta tam
et ce sont molécules invisibles
parfumant le monde
d'un Axe d'Or
ta tam
de cette offrande au Ciel
vers un retour sur soi au filtre de Tes Yeux
ta tam

ta tam



.

tu te souviens du jour où je t'avais donné un point ?
je l'avais offert à tout le monde
en fut ben remercié
carte post'@le
vide
&
tchac/


"prenez et buvez en tous...
si déjà vous n'arrêtez pas vos conneries."

j'ai commencé mes premiers essais d'impressions sur peinture.
C'est à dire que je peins sur une feuille et plus loin, sur l'ordinateur.
Je pourrai, par exemple, comme dans le temps, faire une cage,
ou une tache, ou ou ou, pour mille peintures.
chacune d'elle restera unique.
p'tou(.
perso, je fais une cage pour chaque peinture
ou deux, ou 3, ou... ri ri ri ri
dia
bo
lo
o
o
o
-meuhhhhhhhhhh !
pfff : même pas drôle : ndr
pourtant, des diabolos comme ça, il n'y en a plus beaucoup de chez beaucoup sur internet, moi' j'te'l'dis.
Des nazis.
Virulants de virulpoisons :
des plus lourds, gras, des plus opaques ;
aux plus pointus, précis, pour dis mille  infâmes expansions d'ombres.

dimanche 6 mars 2011

psssiii...

Ils ont vu la Lumière d'un homme qui passait là.
Il racontait son chemin.
Ils l'ont tué un à un ils ont créé onecom L

De là s'échappe la Nuit
La nuit de Caïn, la nuit de l'Orient, la nuit précédant matin, la nuit des minuits pile au quart de poil près du pré prêt.
Une nuit parmi tant d'autres.

psssiii...

mim Min-niM

J'ai l'idée d'un blog à rideaux.
Il serait tout blanc de chez blanc, il faudrait un clic de plus pour l'@sélectione & lire.
Il changerait de couleur comme de chemise : clic !
comme une roulette de lunette microscobe  : clic !
comme un faisceau laser à pointer détail en toute tache : clic !
et touti pataticliques
Un visu-blog de porc pour des porcs.
port @ port
En face de Avis de... l'autre côté du trou., là, où les tites chiens d'arfwarf 1 & deux sont allés hachés menu
D'ailleurs, la première pourrait être vert d'eau, si t'oies c'que j'veux dire.

clic !

et t'choue ! c'est là que la conne tchita comme une morue à la tartine de la mairie.
Perso, l'humour me fait souvent rire, j'espère que tu en  apprécies la finesse typo rémora.
li contraire m'ennuierait un peu après tout ce temps passé ensemble et de si co-pieux partages
S.c.ou.f. Grognon : " tu sais bien que je comprends ce que tu dis. Mais faut pas m'emmerder...  "
Des assis s'en souviennent aussi, ceux avec des grappes de raisins pleines les amigokedal's
celles qui caquettent casquettes en tête maquiâges  bâtsonne ein zwei sourire in red live
jurisprudentes en toutes saisons pour toutes raisons surtout pas la leur

m'enfin...
po po po po pom pomme, ie crois que le fil l'est ben tendu là...
les joies de l'asymétrie.

ah ie suis fou !
ah y comprennent pas ce que ie dis !
mon cul oui !

Ils arrivent immenses devant mi.
C'est normal, ils se connaissent mieux que moi.
Sans un mot : just'ene trique
Ils sont tellement gros ces pirthékantrops morcelés que quand tu grattes un endroit, il met des plombes à réunir ses raisons pour arriver à celle qui l'arrange le plus : leurs triques y ont ainsi gagnées moultes lettres de leur noblesse : je ne te dis pas ma collection, tu n'en reviendrais pas.

A, c'est le corps du Christ,
l'hostie sacrée sur l'hôtel circomplexe de tes pères, le sang de ta mère et des enfants du monde.

C'est la vie dans ce qu'elle a de plus fragile et que tu te dois de respecter,
parce que si tu ne le fais pas, c'est toi que tu ne respectes pas.

vendredi 4 mars 2011

Au revoir

j'ai dit au revoir.
Voila.

Personne n'a dit un mot.
Train arrêté, train en marche
qui regarde, qui part

Ca dépend du point de vue.

Sur la vitre, je n'ai pas regardé si la goutte a filé, si la goutte à chaleur du radiateur s'en est évaporée.

Etre au fond d'un puits ou pulvérisé aux étoiles ; quelle différence tant que ta main ne touche le mur ?

Les barreaux étaient trop gros, trop obscènes de leurs lames, de leurs silences. 
Je pars et c'est mon image derrière la vitre que je vois : fantôme d'un homme en train d'écrire, de peindre à l'ombre d'une lumière artificielle où l'été venu quelques papillons s'affolent.

Dehors, une étagère au-dessus de la fenêtre présente tant de pommes si ressemblantes qu'une main ne saurait en choisir une.

Je peux les laisser là.
Un peu.
De temps.

sLv

Etagère d'ilL

mercredi 2 mars 2011

Les pieds au sol.

J'ai rêvé rêné d'un ballon.

Un refuge de haute montagne.
Des hommes s'amusent à se jeter dans une ornière de neige et descendent ainsi la pente.
Au moment où ils se retrouvent sur une corniche, le danger de la situation leur apparait :
remonter ou descendre semble terriblement dangereux. Les hommes se fâchent sur la marche à suivre.

Au refuge, un petit dirigeable s'élève pour les rejoindre et les secourir. A peine arrive-t-il à faible hauteur que des vents violents et agités le projettent vers des arbres où les cimes crèvent l'enveloppe et pend la nacelle.

Là, je me réveille.
Puis, je me demande ce qu'il se serait passé si quelqu'un était resté en bas, le tenant captif d'un fil, le retenant, partant avec lui pour des sauts hors-normes : facile : c'est un rêve.

Un rêve vécu en bilocation.
Et ce que cela semble impliquer,
d'exemple concernant  partie empathie.





Si tu imagines une pierre, il est aisé de penser son centre moins dur que l'extérieur.
L'inverse manque de repère.
Aux caresses de tes doigts, un diamant n'en possèderait rien de plus.

Beaucoup d'alchimistes ont cherchés la Philosophale. Je trouve cette quête d'Elixir aux 2, voir trois propriétés loin d'être idiote.

Alors les nazis, eux, ils se regardent touti valoris corpus zizicuicuisses et puis ils se croi... pfff, ras le bol...ou le bidet, si tiou voules réf. plaine du chant.

Quand je pense qu'ils en avaient étrang&tué un qui disait "je ne cherche pas, je trouve", 
parmi les "dégénérés"...
Même si c'est après qu'il l'ait dit.
Quel bôtroupotrobô bôngôu...

mardi 1 mars 2011

oh hisse !


CORDE BOBINE
Stéphane Cauchy

http://www.ososphere.org/2011/mole-seegmuller/parcours-artistique/corde-bobine/


" Condensation des fils "
" Technique d'arrache mur "
" sens A, sens B "
..."

! la saucisse !

C'est difficile pour moi de ne plus réagir à ce que je vois parfois écrit chez l'un ou chez l'autre.
Ces chemins que je sais d'errances, aux erreurs flagrantes, et dont ils gavent leurs semblables, branches sans tenues, sans tronc, sans racine, sitôt nées déjà sciées.

Je viens de voir une plume passer. Portée par le vent, elle s'élevait, presque verticalement, haut, encore plus haut.