lundi 31 janvier 2011

Nota bene

Il ne s'agit pas ici pour moi de
Ce que je voudrais dire, c'est q
pfff, pas simple...

Disons que :
1) n'y ayant eut aucune personne pour dire un mot, contester d'une manière ou d'une autre mon bannissement de la plateforme informatique, il serait maintenant très injuste de rechercher éou d'en attribuer l'entière responsabilité à qui que ce soit en particulier et en son sein.
2) c'est cool comme ça, la zizanie n'a pas lieu d'être.
La pomme ne devrait pas être de discorde, il me semble.
3) Hugh !



Annoncer la couleur

 Article d’Abraham Moles retrouvé dans ses archives sous forme informatique avec la mention 20/6/89 – ce texte a donné l’article référencé 1989-6 : préface à Annoncer la couleur, de François Regnier, Institut de Métrologie Qualitative (IMQ), pp 5-13, Nancy
... car c'est une part de ma félicité de rendre clair et intelligible ce qui l'est pour moi, de façon à ce que ceux qui m'écoutent participent de mon propre entendement et de mon propre désir.
            Spinoza

Le livre que nous avons le plaisir de présenter ici est une étape importante dans ce qu'on commence légitimement à appeler la "pensée en surface". Plus qu'un essai, c'est une démarche désormais intégrée dans cette frange étroite mais déterminante, de notre société que sont les responsables d'entreprises, les chercheurs en sciences sociales, les constructeurs de décisions, les managers de toute espèce, puisqu'ils ont pour tâche principale d'explorer et de gérer le nouveau continent de notre savoir et de notre puissance : l'immense domaine de l'imprécis, du flou, du vague, duquel ils doivent en quelque façon, d'abord rendre compte, ensuite, tirer des démarches positives.
Pourrait-on dire qu'une "pensée à deux dimensions", c'est-à-dire une réflexion suivie de décisions opératoires, permet de maîtriser le monde de l'imprécis qui nous affronte mieux que ne l'a fait la pensée linéaire, celle qui se coulait si facilement dans les lignes de plomb de l'écrit typographique, et qui de fait a exercé sa dictature intellectuelle, allant jusqu'au purisme, sur notre logique, notre mathématique, notre art de la démonstration, et à la limite, notre intuition même ? C'est probable. Car autant la spontanéité de la pensée primitive a découvert l'image avant de passer par la contrainte féconde mais limitatrice de l'écrit linéaire, autant la pensée qui se cherche ressent-elle durement cette contrainte quand l'esprit humain voudrait errer à son gré dans un champ des possibles. Et cette contrainte ne s'exerce encore sur nos esprits, surtout en Occident, que bien inégalement selon leur catégorie : l'architecte qui rêve et qui plus tard projettera, le graphiste, l'ingénieur, revendiquent toujours, dans la quête instinctive et immédiate d'un torchon de papier et d'un crayon pour y gribouiller ce qui sera l'amorce d'une manière de penser, et, plus tard, d'un croquis, d'un dessin, d'une volonté, pour y "penser en deux dimensions". Le champ du regard y est le champ de l'esprit. Si la contrainte est génératrice de créativité, et peut-être, ces rôles sociaux importants verraient-ils plutôt dans les difficultés qu'implique la spontanéité en trois dimensions, réprimée par des difficultés inhérentes à sa manipulation du monde de la représentation, la véritable ouverture vers l'expansion future de notre esprit, bien mieux que dans la contrainte linéaire de la pensée traditionnelle qu'ils ressentent durement au moment où, rédigeant un rapport, ils doivent coucher en mots au long d'une ligne, en équations ou en formules, la nécessaire obligation de penser "logiquement" qu'ils éprouvent autrement.
L'abaque de REGNIER existe maintenant depuis une quinzaine d'années. C'est une présentation à deux dimensions des jugements de valeur qui sont portés par un certain nombre d'individus-juges, experts, ou profanes, sur un problème imprécis dans ses contours, vague dans sa terminologie et dont les facettes sont multiples. C'est surtout un algorithme pour distiller du sens à partir d'un désordre apparent, qui n'est pas nécessairement absence d'ordre, puisque Logique et Mathématique nous enseignent que l'Ordre comme de Désordre ne sont pas des valeurs binaires et opposées mais simplement deux pôles extrêmes dans le champ du réel. Construire le désordre est certes l'une des tâches les plus ardues du mathématicien ou du statisticien, très exactement égale en sa difficulté à la quête illimitée de l'ordre parfait, mais cette vérité élémentaire de l'épistémologie est rarement reconnue par le langage courant qui voit tout naturellement, de façon manichéenne, le dés-Ordre comme l'opposé binaire de l'Ordre et qui ne sait que les opposer. Ceci est contraire à ce qu'on pourrait appeler l'"épistémologie du Monde", mais il a fallu à l'esprit un substantiel effort pour saisir qu’à travers ce qu'il qualifiait, superficiellement, de désordre apparent, ce qu'il liait à l'imprécis et au flou des formes (le désordre des contours), existaient éventuellement, quasi-certainement, des formes sous-jacentes, des produits de l'ordre, que c'était la tâche de la pensée méthodique de révéler. Sur le plan logique, l'Abaque de REGNIER, c'est cela.
Et certes, le Dr Régnier, quand il a conçu l'idée de son Abaque et de la représentation colorée de jugements de valeurs, ou d'intensités, était loin d’être le premier à œuvrer dans cette direction.
Il recueillait d'une part, le boulier chinois qui fut un des plus parfaits accomplissements d'une pensée numérique depuis vingt siècles, accomplissement qui n'a d– céder les armes que tout récemment devant les ordinateurs, car il avait su si parfaitement hiérarchiser "le principal" et "le secondaire" : centaines, dizaines et unités, dans un tableau carré (rectangulaire) dont les dimensions mêmes étaient au niveau de la perception visuelle confortable, donc sans efforts, spontanée.

Il intégrait d'autre part, traduite dans une sensation du vague de nos jugements, l'acceptation même, des travaux célèbres de la théorie de l'information et de la psycho-physique : ceux-ci ont montré depuis un demi-siècle que nos jugements subjectifs immédiats, ceux qui appartiennent à la spontanéité de la pensée créatrice, ceux qui ne reposent pas sur des algorithmes, mais vont plus tard constituer la matière de ces algorithmes, ceux que les philosophes appellent "l'évidence sensible", ne nous permettent guère de dépasser un nombre très limité de catégories (5 à 7) ; en-deça de ce nombre nous "percevons" immédiatement, mais au-delà, nous devons "compter", un exercice laborieux de l'esprit.

Si l'on fait de l'évidence sensible la matière d'un "jugement", au sens de la grandeur, il est donc sage, -nous dit la science de l'imprécis-, de restreindre notre prétention à saisir les données immédiates d'une conscience métrique à ce nombre, très limité, de catégories. En fait, tous ceux de nos jugements qui ne sont ni scientifiques ni techniques se passent ainsi : c'est peut-être l'une des grande force du système des jugements colorés que d'adapter (matching) le mode en soi de cristallisation du jugement à la nature de la donnée: comment est fait ce jugement. Car en effet, le concept même de couleur est, dans le monde de la perception, l'un des plus rudimentaires qui soient. Certes, l’œil de X ou de Y est capable de distinguer 5000 ou 10000 ou 20000 "teintes", par contre ce qu'on peut appeler le vocabulaire des couleurs, c'est-à-dire l'apperception mentale de celles-ci en vue d'une transmission communicative, ne dépasse guère le niveau qu'elle a atteint avec VIRGILE, NEWTON, ou GOETHE, dans le célèbre distique :
rouge - orangé - jaune - vert - bleu - indigo - violet.
(fragile) (cheville (peu poétique) clair)
REGNIER lui a substitué une échelle dont l'efficacité est prouvée par la pratique et par la colorimétrie :
Rouge - Rose - Orangé - Vert pâleVert
C'était donc une idée fondamentale, un effort de lutte contre ce que dicte arbitrairement la culture, de reconnaître cette règle élémentaire (rien n'est plus difficile) que la qualité de la quantification de l'échelle doive être adaptée aux degrés de ce qui est quantifié. Or la quantification ne doit jamais être trop raffinée si elle veut faire objet de communication : certes on peut distinguer bien plus de "couleurs" (nos créateurs de mode ne s'en font pas faute dans la mesure où ils ne recherchent que la "différence"), mais nous ne pouvons guère escompter (même en excluant les daltoniens), une notification de ce qu'on peut appeler les couleurs "fondamentales" au-delà de celles que nous reconnaissons déjà, sauf modification peu vraisemblable de la nature physiologique de notre rétine -qui n'est pas pour demain. C'est peut-être l'une des intuitions fortes de REGNIER d'avoir reconnu, il y a vingt ans, ce que nos modernes ergonomes de l'informatique, redécouvrent au moment où grâce à la puissance de l'outil ordinateur, ils orientent vers l'usage de la couleur les innombrables diagrammes et terminaux de l'écran magique, en vue de faire mieux consommer par le décisionnaire le terminal informatique.
Le rôle de l'Abaque ou du tableau rectangulaire comme médiateur de la pensée à deux dimensions, c'est de construire des formes à partir d'un chaos originel qui provient de la contingence, la contingence d'une rencontre entre l'expérimentateur -l’observateur-, et l'expérimenté -le juge-, qui doit répondre et réagir à un certain nombre de "questions" ou d'items qui se trouve eux-mêmes présentés sans ordre pré-établi (c'est même ce qui est souhaitable, nous dit l'expérimentateur en opinions, si l'on veut éviter l'influence de la viscosité du cerveau pensant sur la formation de ses opinions).
Ces formes sont des universaux aristotéliciens de la pensée à deux dimensions : dans leur essence elles appartiennent à un nombre extrêmement limité de types que les théoriciens de la Gestalt ou du Bauhaus ont su parfaitement énoncer, parmi lesquels le carré et son disciple, le rectangle, la ligne droite, la barre, le triangle, sont les plus importants.
Le résultat brut de l'appréciation de valeurs d'un certain nombre d'individus sur un certain nombre de questions, d'affirmations ou de jugements a priori, c'est d'abord un tableau confus de chiffres (matrice) ou, dans l'Abaque, de valeurs colorées.
Mais pourquoi ne pas admettre, au titre d’hypothèse provisoire, -toujours justifiée dans le monde des phénomènes humains-, que les individus se ressemblent, que les juges appartiennent à une espèce humaine, et que, sous-jacent à leurs jugements individuels se trouve un fragment d'opinion commune : s'il en est ainsi, la sommation numérique de leurs jugements possède une signification. Et si on reclasse l'ordre initialement arbitraire des colonnes et des lignes du tableau en reprenant les valeurs numériques auxquels ils correspondent, par une permutation des lignes et colonnes, on augmentera l'ordre apparent dans le tableau au détriment de son désordre, également apparent. Soulignons que c'est ici une hypothèse : le mathématicien pur ne verrait aucune garantie ni justification universelle de celle-ci ; mais c'est un fait humain et le psychologue sait que l’hypothèse sera respectée.
Ce processus, c'est la diagonalisation, un artifice que nous avions signalé dès le début de la création de l'Abaque. Car l'Abaque prend la suite de toute une lignée d'efforts pour faire sortir le régulier, sous-jacent à des résultats contingents, efforts déjà illustrés par les maniéristes et les constructeurs de langages secrets à la fin de la Renaissance (KIRCHER) et qui ont été exploités par ceux qui au début des sciences sociales -des sciences du vague par essence- ont cherché à faire surgir la mesure d'une incohérence apparente qui n'est jamais totale ; le scalogramme de GUTMANN en fut une étape essentielle.

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Ainsi l'outil Abaque sur lequel se basent les compte-rendus d'application qui sont proposés dans les différents chapitres de ce volume, se base essentiellement sur six affirmations de l'Infra-logique perceptive :

1) Nous avons à traiter un monde du vague et du flou comme partie constituante essentielle de l'action de l'homme sur le monde à travers sa pensée; le vague est un donné de l'être, il est la matière première de la réaction rapide et de la décision adaptative;

2) La pensée à deux dimensions est le nouveau champ effectif de notre imagination -non pas qu'il soit tellement "nouveau", mais parce que, jusqu'à présent, la pensée a été contrainte par l'écrit à une linéarité séquentielle qui ne lui était pas naturelle. Certes les contraintes sont créatrices, mais le but de la création c'est de transgresser les contraintes et d'adapter les outils.

3) La représentation de valeurs par des couleurs est congruente à l'activité même de l'esprit dans la spontanéité de ses jugements; elle est un donné fondamental de notre conscience immédiate et c'est elle qu'il faut traiter pour extraire des formes de l'informe. Pour communiquer de l'un à l'autre, on doit faire la part du vague intrinsèque de la communication et donc réduire considérablement l'éventail des échelles de valeur à la grossièretés du communicable.

4) L'esprit humain pense en appréhendant des formes (Gestalt) ; c'est l'interférence ou la combinaison des formes qui se fait dans son esprit quand il articule un raisonnement : il y a une "géométrie secrète" de l'Abaque. L'objet médiateur essentiel qui lui servira sera donc un outil matériel, et une méthode, qui lui proposent des formes sur lesquelles il joue, avec lesquelles il s'oppose, qu'il modifie ou qu'il complique.

5) Or c'est à partir de critères de jugements internes au "juge" ou au sujet de questionnement, que se construisent ces formes, sur la base de critères incertains qui peuvent jouer le rôle de fonctions itératives, c'est-à-dire de "règles" que l'on applique et qui s'affinent par étapes progressives en reprenant toujours les mêmes données peu à peu épurées.

6) La pensée est un système hiérarchique; d'abord, nous venons de le voir, elle se cherche pour elle-même, pour économiser son effort, de l'ordre dans le désordre, des formes dans l'informe.
Mais, ce qu'elle vient de trouver, quand elle les a trouvées, le démon moteur de la dialectique la conduit à discerner dans l'imperfection même de nouveaux champs de liberté de l'informe, et par là, elle invente des "formes de déviation" : dans quelle mesure une "droite" est-elle une ligne courbe, dans quelle mesure est-elle une ligne sinueuse; dans quelle mesure une droite (la diagonale) est-elle une barre épaisse de l'incertain ou du discutable; dans quelle mesure un triangle coloré possède-t-il des irrégularités dans sa coloration, dans quelle mesure y-a-t-il des taches blanches, noires ou vertes dans un triangle rouge, voire dans un "triangle" curviligne (coefficient de reproductibilité)? Elle recommence alors le même jeu de l'ordre et du désordre à un autre niveau, elle s'interroge sur les causes de ces déviations.

C'est dans cette hiérachisation des niveaux et sa discussion que se situera le déroulement dialectique, ce que REGNIER appelle l'entretien ou la session : un dialogue entre ce qui fut à un instant la Vérité du groupe et ce qui le deviendra dans sa réactivité aux questions, aux jugements de valeurs qui furent à l'amorce de ce groupe et qu'il veut dépasser par une auto-critique de nature logique.
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IMG 0017

On peut croire que la rédaction que l'auteur a fait de ce livre est susceptible de satisfaire les esprits les plus divers. Il devrait satisfaire ceux qui sont formés à l'empirisme anglo-saxon où seuls les résultats seuls comptent et où, semble-t-il, de l'ensemble des résultats jaillit la doctrine par un effet d'intégration, voire de répétition : la théorie y vient après l'expérience, et résulte nécessairement d'elle et d'elle seulement. Ce livre est en effet, finalement, dans sa substance matérielle le compte-rendu d'une demi-douzaine d'expériences de pensée en groupe menées chaque fois sur une quinzaine de "sujets" ou, -plus exactement- de "juges" au sens où ce terme s'est répandu en sciences sociales, voire d'"experts" au sens du management.



Texte déjà publié en partie sur blog "Radio~Kéké"
, détruit p't^t au nom de la liberté de penser & de communiquer
J'ai pris lui en photo parce que je trouvais qu'il me ressemblait quand j'enlève mes lunettes. Rouuuue le kéké !

Sortie du bocal Wizzz



Je ne veux plus regarder ma plume séparer ses sillons.
Partir ou rester.
Rester ou partir.
J'espère faire le bon choix :
le Temps donnera toutes les réponses,

sLv

~

Aïe! Puissè-je savoir s'ils savent
Quel coeur ils possédèrent !

Et mon coeur puisse-t-il savoir

Quels sentiers ils empruntèrent !

Furent-ils sauvés ? Périrent-ils ?

Perplexes et irrésolus,
L'amour rendit les fidèles d'amour !

Ibn 'Arabi
"Le Chant de l'ardent désir"


Ben, qu'est-ce que tu as ?
- Rien. Je danse. Je chante. Je tourne
Ca sert à rien.
-Tu as peut être raison, mais comme tout le monde réfléchit, je garde un axe qui ne doit pas s'éteindre.
Et alors ?
- Continue de réfléchir.
Ben là j'ai pas le temps. J'ai une course à faire.
- C'est bien ce que je dis.

Pas la forme

jeudi 27 janvier 2011

Du nouga en veux-tu en voila




avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h07



Je vais quitter pour toujours

Loin de la haine et de ténèbres

Retour à la vie et le bonheur

Je vais quitter pour toujours

Avec un sac plein de mes rêves

Je vais marcher et suivre les vents

Vous avez triché avec mes sentiments

Joué la mauvaise partie de ma vie

J'ai vu ton regard tranchant comme un couteau

Je vais disparaître dans la nuit

Trop fatigué de votre combat cruel

Ne pensez pas que vous me verrez à nouveau

Je vais reprendre la route

Je vais traverser les rivières

Oubliez les règles du jeu

Et même d'oublier votre nom



avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h08
trad. by Google


avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h18
ah ouais ? tu t'en vas ?

avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h19

Tu crois que ça marche comme ça ? Une caboche ?


avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h26
M'enfin, tout le monde a ses bonnes p'tites raisons pour partir ou ne plus publier, c'est sûr...


avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h38

Des passés non résolus
naissaient dansaient mille voiles obscurs
à la main qui s'avançait hurlaient cordages savants








cordages d'amoon

tu m'escuses hein ? i'ai pas le temps, là :
i'ai du taf


avis de... - posté le 27/01/2011 à 10h48
in blog arfwarf 1 ou 2, j'ai pas envie de réfléchir, 
blog détruit par Télérama



avis de... - posté le 27/01/2011 à 11h04
et pas que lui, d'ailleurs...


avis de... - posté le 27/01/2011 à 11h05
à ben y réfléchir un peu kan m^m



avis de... - posté le 27/01/2011 à 11h07

Lui, il était plutôt dans l'exécutif. Si tu uois ce que ie ueux dire.


avis de... - posté le 27/01/2011 à 11h08
M'en fin ! Un cul est un cul ! Qu'on se le dise !



avis de... - posté le 27/01/2011 à 11h18
à varier. L'exécutif.


Exemple d'une page censurée par un broutilisateur du Wizzz.

Perso, je m'en fous que l'on ne me réponde pas.
Je comprends très bien cela.
Ce que je comprends moins, c'est pourquoi une expression aussi éphémère sur une note blog, sur un agora censé être libre, démocratique et touti patati, soit détruite aussi vite.
Ca me donne beaucoup de travail en plus ; je n'avais pas besoin de cela.
Il me semble

M'enfin...




Vélo de course

tchic à tchic aie aï y !

posté le 27/01/2011 à 12h35
ne serait-ce pas LUIS MARIANO qui chantait cela ?

posté le 27/01/2011 à 13h11
Mais oui mais c'est bien sur !!!

avis de... - posté le 27/01/2011 à 13h12
C'était pas plutôt...mmm..., comment qu'il s'appelait déjà...

avis de... - posté le 27/01/2011 à 13h34
aie aï y ! pas moyen de me souvenir :))) C'est fou !



Faut dire que comme je regarde très peu la Tv et les infos, tout cela me fait beaucoup rigoler. 

Il faudrait peut-être que j'élimine aussi le .
C'est peut être à cause de cela que j'ai du détruire sur ordre de Télérama la page sur la Wizzzmaskokote...
Qui sait ? 
Même pas moi. 


Ils ne p@rlent,
que lorsqu'ils trouvent une trique,
à fleurir leurs groins.



16 blogs détruits

17. J'avais oublié de vérifier :"atelier provisoire qui dure, virgule, " est écrasé lui aussi. 
Ca fait 17 blogs.

C'est fou.
C'est fou.

Comment refaire cela ?
Sans parler de leurs lois changeantes comme celui qui parle. Un jour oui, un jour non. Ils disent que les contenus leurs appartiennent. Ils m'ont fait détruire une page extérieure où il n'y avait pas leur logo, ni leur mise en page, excepté sur quelques photos d'écran d'utilisateurs.
Quel sens  à cela ?  

Quelle évolution attendre d'une telle machine à tuer les esprits naissants ?

La censure est une plaie terrifiante que personne ne veut remettre en cause.

Elle est de leur normalité.
Ils s'y façonnent.
S'y réduisent.

mardi 25 janvier 2011

Petits propos entre amis

 ...§-ndr-Pixel, c'est moi : je n'ai pas le droit de parler chez eux. Voici ce qu'ils peuvent publier.

" Culâne- le 19/01/2011 à 18h38 
Pour tenter de préciser un peu plus les choses à propos de la pixel-folie et de la catastrophe psychique qu'elle montre par sa démesure et sa prolifération je dirais que l'impossible pouvoir-écrire que je suppose est peut-être lié à l'effondrement de la clé de voûte psychique c'est à dire la capacité métaphorique et métonymique qui soutient l'écriture. Il y a pour le cas général de la constitution d'un sujet une inscription de la métaphore primordiale. La non inscription ou bien la destruction de l'inscription est catastrophique et laisse un paysage de ruines, un chaos des mots. L'image numérique ne peut résoudre la catastrophe mais elle peut en atténuer les effets angoissants. C'est du moins ce que l'on pourrait souhaiter à Pixel dans un cadre créatif non paranoïaque.
.

  Riolé - le 19/01/2011 à 12h05
Pixel est douleur, enfermé dans une souffrance . Il crie son non-écrit.IL est dérangeant mais malade. Comment mettre une limite... à la souffrance? Peut-il entendre, s'entendre ?
.

 Culâne - le 19/01/2011 à 11h17
Mofailconte & B.: je ne connais pas l'oeuvre de Lucien Jerphagnon mais ce qu'il dit de la sottise dans son anthologie est intéressant. Il n'est pas si facile de tracer une nuance entre la sottise et la bêtise. Je finis par penser que la bêtise la plus bête est préférable à la sottise qui tente de se donner l'apparence d'un savoir. Bouvard et Pécuchet (noms par lesquels on peut lire l'avarice du coeur et l'esprit bouché) sont probablement plus du côté de la sottise lorsqu'ils tentent de maîtriser le réel par un savoir livresque (il y a un passage sur une mise en bouteille très drôle). En ce qui concerne Pixel et ses multiples avatars WIZZZ c'est autre chose. Je pense qu'il s'agit plus de la mise en scène WIZZZ, plus ou moins pathétique, d'un symptôme de la folie plus que d'une sottise ou bien d'une bêtise. Il y a nettement un délire de persécution, persécution de la censure recherchée et obtenue par diverses provocations et insultes. Il y a, de la par de Pixel, un déni paranoïaque d'une censure interne voire d'une persécution interne: Pixel ne sait pas écrire ou bien ne peut pas écrire. Cette pathologie de la folie paranoïaque peut être, jusqu'à un certain point, entendue mais il n'y a aucune solution dans le cadre WIZZZ. Ce que Pixel n'est pas en mesure d'entendre.
.
Mofailconte  - le 16/01/2011 à 15h00
Un philosophe de l'histoire a écrit récemment un essai sur la sottise...Il faudrait qu'il passe par ici pour lire certains commentaires ! "La sottise : on en respire la présence partout et toujours dans l’air du temps. Une présence atmosphérique, en quelque sorte. Aristote la suppose contemporaine de la préhistoire, tandis que saint Augustin y voit une conséquence du péché d’Adam. Ce florilège présente les fruits d’une cueillette au long de vingt huit siècles, chez les auteurs les plus divers, des Hébreux des âges bibliques aux journalistes de nos Républiques. à chacun de s’en faire une idée..." Lucien Jerphagnon "

Moi je dis que c'est trop la classe, Slurpf groin !

 C'est même interdit par la loi française de parler de quelqu'un sans lui laisser de droit réponse. Ils s'en foutent, je leurs ai déjà dit mais ils ont raison, sont largement au-dessus de cela.
Quand ils délirent comme ça, rien que je fais coin ! coin ! Ils me censurent ! :)))

La force de la raison, de l'intelligence et des convictions disdindonguindées...

lundi 24 janvier 2011

Un choix

J'ai un choix à faire.
Soit je reste sur ce Wizzz de Télérama,
bocal parmi les bocaux autistes profonds,
soit je vais ailleurs, à l'extérieur.

Je crois que je vais me donner du temps avant de prendre une décision.

Parce que je sens de l'effroyable qui arrive.

Le wizzz est devenu pour moi un nid de triques incroyable, où tous semblent rêver de ma disparition sans qu'aucun ne puisse en prendre clairement la responsabilité.

Ceux qui parlent de moi, me traitent de psychopathe, le font sur des blogs, les leurs ou en des agoras ami d'eux, là où ma parole est interdite. Si d'aventure, mon nouvel avatar me le permet, je suis très rapidement censuré.

Les paroles qui sont dites par Télérama le sont sous le sceau des lois et de la force de persuasion de son service juridique. En tant que citoyen lambda à faibles revenus, je serai complétement fou d'entrer en conflit avec lui. Qui oserait cela ? Nos échanges restent donc secrets, il détruit mes coms, mes blogs, et m'ordonne par ce que j'appelle les tubes à rats m@ils, de détruire les pages qu'il trouve ici ou là.

Je leurs ai dit que j'étais derviche, que les propos qu'ils tenaient à mon sujet n'éclairaient qu'eux, tout du moins et cela je ne le dis que depuis maintenant hartung, virgule, parce que je sens la colère qui me monte, et chez un derviche, j'ai pas l'historique ni le mode d'emploi pour gérer des conneries pareilles.
ie crois que ça va gicler grave.
Je reconnais que cela m'a fait très peur.
Je leurs ai dit que je serais peut-être damné, mais qu'ils sauraient qui ils étaient.
Toi, tu es dans tes branches à te frotter le cul, au chaud, des bananes qui puent tous les jours à t'en bâfrer l'Esprit, tu ne crois rien, même pas, surtout pas en toi et je te comprends : "comment aimer un être pareil ?" dirait Lacan.

QUelqu'un qui m'aurait un peu suivi trouvera facilement ce blog. Je ne suis pas très inquiet de ce qu'il peut se passer là.

Ce puis sans "t" ou tu m'a jeté, ou plus poliment devrais-je dire vous, 1)

où si je disais "pour Vous les chiens" à mes derniers mots sur Votre Ip's Plateforme à vider ma PArole par les chiottes de vos triques, alors même que je vous ai tendu tant de fois les perches, que dis-je ! les poutres ! les péninsules ! Les continents infinis ! pour vous sortir de ces fanges d'ombres où vous croupissez pissez, chiez les uns sur les autres, dans des viscosités copulatoirs e-mondes,

(1, vous, rats puants qui m'avez regardés disparaitre sous dans vos baratins les plus ineptes et vides de toute substance, de toute humanité, dans le déni de l'autre le plus profond, celui où tout amour s'effondre et meurt.

Vous, murènes hargnantes des foules dans la certitude de mon silence là où tu poses tes mots de haine, de combats, de mort, justifiant la censure plus loin, toujours plus loin, pervertissant les coeurs et les raisons qui en portent encore un peu, les condamnant à te suivre dans ta propre damnation.

Je vais te le dire dans le vous de vos foules foutres tant aimées, tant désirées, symboles de gloire, de richesse, de bonheurs tocardes et compagnies, symboles de votre perte annoncée, de votre décrépitude la plus totale, la plus déchue.



 Et je vous redirai tu mon grand saigneur des corps et des âmes, jusqu'à  ce qu'aucun de toi ne puisse plus savoir si c'est moi qui vous parle ou si c'est toi. Kapiche ; clin d'oeil  ;)  ? Je sais que tu aimes cela ma grosse salope de la Rose Bonbon qui Chanté°

 Ton cauchemar ne fais que commencer : ça tombe bien, le mien aussi.
Tu vois comme on se ressemble touti galopin sur le veau d'or ?

Ha comme cela, mon inscription n'a pas lieu d'être ?
Tu justifies cela avec tes arguments de singe'ss débile, constipé au point du bronze tubulaire et clinquant, tu fais le beau savant sur un piédestal blanc de mon sang en toute neurologie avancé et prescrite, me cerne d'une camisole toute droite sortie de ton imagination et tu crois que je vais te regarder comme ça, dans cet état à faire pleure les cieux ?
Ho ! Réveilles-toi ! c'est p't^t pas trop tard pour toi ? Qui sait ?

Pauvre fou !
Ne sais-tu qu'un homme qui perd sa parole, c'est un homme qui meurt.
Ne sais-tu pas qu'un homme qui meurt, c'est un bibliothèque qui s'effondre ?
Bien sûr que vous le savez tous : c'est inscrite noir sur blanc dans vos livrus bulbus et à tous les étages. Vous le savez tellement bien, oh Grands Frères des Lumières ! que vous me censurez sous vos bottes de plomb afin qu'il me soit permis de voir vos couillus vulvus en tous paysages, sous toutes coutures.
C'est trop d'honneur. J'en reste sans voix.
Pirthékantrops ?
C'est de la politesse où je n'y connais rien. Néonazique puant, bovin'yack moisi du cul que déjà mille vers grignotent d'appétit sans tes yeux sans ton coeur en cette porte.

Contre mes vents et marées, tu veux continuer cette horizontale de nous que tu tranches en verticale sur tranche pour mille morts ?
Je vais te la montrer cette croix.



Tu vas la suivre jusque dans mon enfer, jusqu'à ce que tu veuilles que je meurs puisque tel est ton souhait, jusqu'à ce que je meurs où jusqu'à ce que tu acceptes mon néant sans forme jusqu'aux Dieux, jusqu'à ce Dieu dont tu as décidé qu'il devait avoir ta propre face pour tout sourire et la mienne pour toute haine, pour toute douleur.

Je vais te prendre comme la merde que tu es :



http://tag-heure.blogspot.com/2008/08/le-violet-est-la-couleur-de-la.html

Un ego rabougris, un trait à rien, un spirit comic dégénéré par l'alcool et les femmes, même modèles aux abonnées sonnantes et trébuchantes jouant à partage priape toutes lèvres intox dehors.

Un wizzz of Télérama'ss
Un bidet pris pour chiottes.
Une porcherie blanche ben française.
Une Baltique et tique et chante & rame actuelle pleine potes, mon p'tite Super Marie°.


Bien sûr que Télérama veut ma peau. Et je vais même te dire que plus il va réfléchir, plus ils vont commencer à comprendre la pente dans laquelle ils se sont lancés malgrès tous mes avertissements, plus ils la voudront, ma peau. Et ce ne sera plus du second degré, plutôt du second couteau.

Et toi, peuple du wizzz ben français, tu fermeras encore ta grande gueule à rien ou tu diras quoi ? du fond de ton bouge gélatimiel des sucs gastriques pleins noirs.

Berk ! Je viens de jeter un oeil sur une note blog du Wizzz & Com°. Rééééééééérck ! ptou !
Odeurs de charognes plein nez laissez moi sortir c'est infect !

Pauvre fou !
Tu m'as donné les pouvoirs de tes monstres les plus enfouis, les plus secrets, les plus fourbes.
Tu m'as posé en main  tes tissages d'Esprits si diaboliques que quand le silence prend place en cette nuit, ce sont tourbillons de sifflements à faire hurler de peur les sorcières noires les plus coriaces, les plus soutenues.

Ils ont mille formes. Ils ont mille passages du noir au noir. Si lueur te semble venir, c'est un gris des leurres étendues et comme de bien entendu. Si éclat(s)pour les salopes, te semble briller, c'est pour mieux te niquer mon enfant des portes à portes closes rosis rosae et ti spiritus of course et compte là-dessus : c'est bon argent qui brille toutes tamises confondues à t'en péter la mouïse.

J'ai laissé ma raison au vestiaire. Tu vois bien : ta tête sortie du mur ta main figée en porte manteau typo coq thot.

Cet habit que j'y pose, tu ne le supporteras plus, sLv. Tu as l'impression que le temps de l'attente en a transfomé le duvet en mille aiguilles, où ne sachant plus distinguer laquelle est la plus ointue, tu t'abandonnes parfois à des gémissements si morbides que seules les visites de quelques vieux démons rieurs et sans pitié te vont encore ne pas oublier de respirer en ce vieux réflex story angestrale.

Tu vois : je suis très calme.
Ton enfer, je l'aime bien.
Pourquoi pas ? d'après toi ? mmm ?

Vieille rombière moulrue puante de la salive°p" "e ! génération.

Ton ourlet autour des lèvres, il a déjà commencé à cramer lentos bien avant moi.
Fut-il rouge ou vert de tes colère rentrées aux sons des fromages en miettes de grapilles gustatives et distinguées des Marquises au chants des banquises à kama soutraite les mioches à la pelle.

oh ! ce n'est pas la tienne ! Toi juste tu avais le manche en cette main que tu ne voulais voir.
Et la voici qui s'agite à inscrire là-bas, de l'autre côté du voile tissé aux microcordes tranchantes, des signes aux significations perdues, un appel muet, le seul qu'il te reste en ce vain de solitude exaucée en toute amitié et pour des siècles et des siècles ou pour l'éternité, sLv.

Que crois-tu que j'ai payé pour cela ? Pour cette miette que tu fis de moi ?
Quelle valeur veux-tu que je donne au Wizzz ? La tienne ?
Si la mienne ne vaut rien, qu'espères-tu de la mienne ?
Un p'tite bisou sur ton groin de porcos biancos ?
 Un p'tit caca nez pour rigoler nigaumatik ?
Arf arf je me gausse du flou d'l'Albert Michelle° Bonne à Tarte !
C'est plus du Gravelait mon beau Marchait, c'est que veux-tu que la bonne y fesse quand y'a depuis si longtemps y'a plus rien dans le cigare du Pahre à On à chemises coulissantes latérales pour pipes d'injection extension prout derrière  ?
Y'a-t-il jamais eut quelque chose me semble une question de bon aloi.

 Et quel spectacle !
Les voir se tirer comme des lâches, laissant là ceux-là même qu'ils couvraient de louanges à peine quelques jours plus tôt, hurlant des je t'aime à la vie à la mort ! mais là faut que je parte, des vapeurs artistiques m'obligent au monde du très cher crève toi d'abord on verra si moi je vais mieux.
J'espère que tu remarques le plus de mes propos, le petit pas de pas tapons pas suplémentaire qui fait qu'ici, sur ton veau d'or adoré, tu peux ben crever la gueule ouverte devant moi, j'y meulerai encore tes canines moulées à ta belle immobilité sans son de goliath, que dis-je ! de cosmiques heuuu, oui... On ne va peut-être pas aller si loin si vite, tu risquerais d'être raisonnable encore une fois.

Et quand on sait ce que ça veux dire chez toi...

Ben oui hein, ma raison, c'est toi qui l'a puisque je ne peux plus te dire la mienne en face. Ta wizzz face d'1 pour tous, tous pour un ! Je m'en fous d'avoir raison comme toi tu t'en fous de la mienne de course à bourrique de lux à matic stick.

Souviens-toi  cocote à merde, moi, je suis dans la douleur, dans la haine, dans un enfermement dont c'est dommage, tu ne peux rien, c'est affreux pour ma petite conscience comme il souffre mais qu'y puis-je ? Parfois, oh parfois et j'ai presque un peu honte mais c'est si peu que c'est mieux qu'ils meurent c'est plus chrétien...

Et si tu pouvais réfléchir deux secondes, le temps que je te dise que rien avec le Jérome Bosch, j'ai de quoi me marrer, disons heuuu, pas mal de temps, ça me laisse de quoi peaufignoler mes propres trucs en blanc jamais vus en tes occasions du lion sot.

Tain ! ils m'enterrent déjà !

Hé ! Dugrocon lajoie !
ie suis encore vivant.
Faut pas vendre la peau de l'ours avant son heure avancée !
Faut pas prendre ses noirs aveugles désirs de nazi pour des réalités !
C'est pas parce que tu ne vois plus la Bande de Gaza qu'elle est mortoz°° !
auec tous ses Aimants à l'intérieur de la balle gazette à musette gazelle ouest !
!
Ca colore hein !
Mein Hanz!

Tête à claques.
Y'a ton chef qui t'est passé dessus t'as rien pu dire que tirer ta trique pendante ?
C'est mieux maintenant ? Conard des alouettes frigides aux moeurs en vies de bonnes conduites à bites.
Tu imagines maintenant que si tu m'avais dit un seul mot, un peu choisi, j'en coviens de bonne grâce ou ou ou v'la que ça me met toute en poule rien que d'y penser, ça aurait tout changé de toi à moi & vis& versa ? Tu t'en rends compte kan m^m ? Parce que perso, ce mot là, il compte beaucoup pour moi. Je peux même te le réciter à tous les temps maintenant :
ie te merde
ie te merdais
ie te merderai
que je t'use merdus
et tous culs & patapuces polutus Mr Dugland de la rame d'as en croupes i-tubes ben'haware du tout.

Ce n'est qu'un exemple, bien évidement.
Comme tu ne l'a pas prononcé, cela peut tout aussi bien donner :
.
..
ie te pif
ie te pifais
et touti pif°pwiiit !
i'espère que tu m'a compris.
Ca mangerait pas de ce pain là, ça c'est sûr.

Et c'est qui ce débile qui se pointe ?
cause effet conséquence
et roule ma poule
couvert !
groumpf groumpf
et que je te refous la gueule dedans
champignon des grandes branlettes à m'as-tu vu jeuhhh pense !
Tu veux pas que l'on te dise merci en plus ? Si ?!!!
Tain ! T'es vachement gonflé comme débile
A ta place, perso, je n'oserais pas
j'aurais trop peur qu'un mec comme moi vienne me demander de développer un peu ta connerie à la face du monde consterné par tant de voltiges si divines de mille pâquerettes de broutes en vides à vis.

et toi là-ba, et toi là-bas !
mais c'est que je vous vomis
de toutes mes connaissances de vous madame !
je ne crée jamais rien tu sais : je suis un paslàpaslàlà de bonne famille
si j'étais capable d'inventer tout cela, mais je serai un génie ! de bonne conduite-ndr-§°°°

ah pis en v'la un qui se pointe avec du Rembrant !
ah ben ça faisait longtemps qu'on avait pas vu d'ça !
et pis que je te le détaille en 3 vies des bas d'la classe pour que l'on voit gourde peine sans hésiter.
A'tion les coms ! Ca va l'pas coulère y'a d'la joie !
Quand l'artiste bosse, le pélérin douille !
c'est bien cornu tout ça kan m^m
la pensée a fortement évoluée
au lendemain des hier soir
de tous dans le camion
direction flagolis
les neurones
trasmis
par
vo
.

.


.



| nid z'à merde d'un amiche qui ne veut que ton bien°. van coolos |

Petits détails

Ok. Ce qui m'ennuyait peut s'enlever. C'est cool.
Heuuu, non. Je n'arrive même pas à changer la couleur typo. 
heuuu si. Mais ça ne va pas. C'est comme ça.

Je vais peut-être continuer sur ce blog.
Heuuun pas sûr du tout...

D'où je viens ?

http://wizzz.telerama.fr/avis

Ils m'ont supprimé, détruit, censuré 16 blogs.
Plus de deux années de travail quasi journalier.

Des milliers de coms ont disparus !
Des notes, des images...

Tu sais quoi ?

Personne n'a dit un seul mot.

Ils ont tous regardé, vu, sans lever le petit doigt.

Ce sont des cultivés, ils savent tout, tu ne peux rien leur dire, ils te censurent direct, un par un, jusque qu'au plus fort.

Ils lisent Rabelais, Rimbaud, louangent Basquiat...

et j'oubliais Alcofribas Nasier, dont ils se flattent de saisir la quintessence.

vendredi 21 janvier 2011

heuuu...

P't^t ben que si...

Maintenant ...

Elu à la trique par tout le Wizzz de Télérama, ça conte...