lundi 28 février 2011

S'tarte in blue


Ti ueux que j'te raconte l'histoire di moon passage sur le nazi'wizzz ?
di moon point de vue d'être mémo~culturel ?

Le titre ?
Si je n'ai pas encore choisi, je penche assez pour

" Eric chez les néon@ziques "

ie verrai quand ce sera fini,
i'ai tout mon temps,
rien ne presse,

sLv

L'écho by ar...

... c'est paltou d'parler
encor faut-il un peu l'écrir
rongo~rongo
ossi

für tifs boat

kreee... kreee...
! allo ! allo !

1

la merluche n'a pas de paluche
ie répète :
la merluche n'a pas de paluche
klink knilk
le gyroscopique à papy s'envole sa fiole
ie répète :
les gyrostiques del pypa s'enviolent sa folle
us
Le baudète dit rustre a mis son bonnet d'âne

Les ailes de queue du 747 sont à l'avenant 2x

les piou-pious de branches étaient sans tronc

les singes assis sautent à l'aile d'astique

quand le sage parle le con clignote

pourquoi défendre sa soeur

quand le frère est là

p'tou(.

2

niquer les téléphones

.

.


.




dimanche 27 février 2011

Anémone et poisson clown

C'est étrange de me retrouver à regarder mes possibles en profondeurs de surfaces.
Après ces années passées sans  remise en cause de mon chemin,
Non, ça ne va pas. Ce n'est pas cela.
Il est cassé. Non, ce n'est pas cela.
Je suis comme stoppé.
Non, ce n'est pas cela.



J'ai réglé les flux d'actualisations.
Les messages sont écrits et publiés sur un ou  plusieurs blogs depuis ma boite mail redevenue outil de travail :
 je n'ai plus autant besoin d'aller sur internet.
Cette wizzz stupidité aux mains de nazis aveugles et débiles que tu lèches ou tu crèves.
Je corrigerai les détails dû à la différence de contexte plus tard, sLv.

samedi 26 février 2011

La roue


bzzz

Lieux d'échange

Interconnexion : les savoirs partagés.
C'était par les coms que se faisait marche avec toi.
C'était par les coms que se préparaient les notes, les pages, les blogs, sites à venir.

s

Je vole au-dessus des traces perdues de mon passage.
Dans le fatras des sauvegardes dispersées et de vos trous unis
réunis là /




Le cahier déchiré.
Les pages arrachées.
La mémoire mutilée


mmm ? Tu disais ?

vendredi 25 février 2011

L'oiseau

Je l'ai vu partir dans le ciel, plus haut que mes pensées
Je me suis dit je dois faire ainsi.
Je suis un homme avec un passé enseveli, détruit  par les hommes à qui je l'avais offert. Sur ce qu'il en reste, ils ont posé une chape en silence de plomb.
A quelques mois de cela, j'avais observé longuement une ligne tracée dans un macadam. Elle m'intriguait. Au environ du centre se tenait incrusté une sorte de triangle métallique. Cette image me revient et me dit : voilà, pars maintenant. Tu as crié à l'aigu, passe et continue, ta voix devenue grave.

Vent me porte plus haut.

Il n'est nul besoin de longs discours aux simples vérités ; les mosimages à sortir de cette tôle, de ce carcan, de cette cage d'où je fus exclu n'ont plus à être de mon ressort.

Pourquoi briserais-je encore et encore mon coeur pour ces égarés, qui, ne connaissant que les armes, osent tuer la parole d'un autre pour des futilités non-dites, la regardent se faire assassiner sans en dire un mot, sans bouger d'un poil ?
Pourquoi les regarderais-je encore et encore prendre leurs vains chemins comme autant de courses perdues d'avance, entrainant leurs frères de proches en proches pour des avenirs pliés vers de sombres ornières ?
Pourquoi me glisserais-je encore et encore dans leurs fatras de branches sèches comme mille morts en marche, dans leurs gémissements incessants et réclamés, leurs bruits de misères où d'ombres en ombres leurs grincements et leurs bruits élevés en nombres tueurs singent à l'existence des grimaces appelées vie parce que ça bouge.

Elles sont grandes les terres nouvelles du savoir.
Elles portent en elles les possibles de demains qu'il appartient à chacun, à chaque participant de façonner, goutte après goutte, jour après jour.

J'ai mal.


J'ai mal en ce ciel où les courants sont solitudes de toi, où les
Je brûle.
J'ai mal ton sourire et tes mots sans tenue.
J'ai mal ton esprit plombé aux dorures des palais de verre.

Ecoute !
Ecoute mon chant derrière ces cieux fermés où peinent tes pas !
Ecoute mon vol autour de cette planque alu où meurent tes rêves de toi.
Ecoute comme je tourne, et encore, ma plume sillage là où s'éteignent tes mots.



Qui es-tu pour m'avoir assassiné parole sans me nommer ?
Sans m'appeler à me dire à la barre où se posa jugement ?
Sans même me fermer les yeux à la salve de vos voeux en communes.silencieuses ?

Tu es la Bête Noire des Ecrits Annonciateurs de l'Apocalypse.
Tu es pour l'instant cette chose immonde au Nombre Maudit dont on ne se demande qu'avec écart, de peur d'y perdre son coeur et son âme, quels Dieux de Fureurs ou de Paix les accueilleront et en quels Lieux.

Alors forcément, du coup, je me retrouve à ta face comme qui dirait l'Antéchrist° hein ? tu vois bien que ce n'est pas toujours facile d'être prophète de nos jours et par les temps qui courent. Si je m'en serais bien passé, de là à me crever les yeux dans l'espoir de perdre ma lucidité éou ma raison, il n'y a peut-être qu'un pas ou deux ou... que je n'ai nulle envie de faire ta danse aux cha tcha tchac/

où tu ne crois en rien, pas même en toi, isolée de misère dans la masse des troupeaux cois.

D'ici, on dirait villes en nuit,  mille lumières clignotent sans bouger vanités figées.
Nul trait nul flux n'en grave par chemin la morne intensité des viscosités de fanges vêtues,
les bocaux bien rangés, bien gardés, incapables de parole de l'un à l'autre,
bouteilles brillances d'errances et perdues dans l'océan des feux.

Là-bas, un tombeau, un puits, une source,
repère de mon passage,
& de tes armes.

mercredi 23 février 2011

La maison bleue



C - posté le 22/02/2011 à 22h14
Quand je serai grande, je quitterai peut-être la cour de ré-création, pour vous rejoindre dans celle de la création. Peut-être. Si j'arrive à grandir, parce que vous êtes si vertigineusement grands ... !



Elle m'a déjà censuré, la maison bleue. J'avais écrit : tcha tchaaa /  tcha tchaaa /  sous leur "manifeste ferroviaire".
" C'est t'y qu'y nous emmerde celui-là à répéter qu'on le censure ! "

Suis curieux de voir ce qu'ils vont répondre face à ton humilité qui pour moi est un rayon de soleil qui te rend bien plus belle que tous au milieu de ce troupeau de nazis cherchissant parades et plumes de cul.

Si tu veux un conseil, ne soit pas pressée de la quitter cette cour, tant que ton coeur y trouve ses joies, quel meilleur chemin  pourrais-tu rêver ?

M'enfin, disons qu'entre le labeur de leurs vanités exiguës et le labour tranquille et serein en ton univers, perso, j'hésiterai pas trop.


Ajout du 23 :
on dirait que le troupeau est passé.
Une merde suffit à plombe enterrer, "normalement" : après, les autres pirthékantrops continuent la "nouvelle voie" qui est celle d'avant, c'est plus simple que de se poser la moindre question qui sortirait de l'ordinaire.

 http://wizzz.telerama.fr/siboaim/blog/437841615



Rem.
Au bout de plus d'un mois, Télérama a enfin chié une réponse sur le blog Avis de...
Un poème .
Pourquoi dirait-il autre chose que sa vérité dans la clarté de ce qu'il croit avec ses possibles ?


- le 22/02/2011 à 18h38
Mince quelle violence!
Je n'ai pas humaine la force de tout lire.
Vous chercher encore à vous faire supprimer? C'est dommage c'est exclusif angle d'attaque...

ben bravo hein  ! ah ben là : bravo ! ah ben là t'es beau là t'es méga tropobÔÔÔ.
Ne bouge surtout plus, t'es super,  la photo est grandiose.
16 blogs à tes pieds te contemplent,

autour du puits de onecom L 

Quelle hauteur ! Quelle certitude dans le regard !
A faire pâlir toutes les statues de gloire !

J'espère que dans son état, il n'y pas une mouche qui va lui passer à côté de l'oreille en faisant " bzzz..."
Sa trique déjà si haute levée pour  oser parler, il supprime le blog  direct.
Et les 3 restants pour faire bonne nazique misique.

T'imagine bien que si je lui dis un truc du genre " ôte-toi mon soleil ", il va se retrouver tout seul dans sa cage à néronéons le ducon.
Pas besoin d'être devin.

réééhhh.... je repense à Culâne et :
" Pour tenter de préciser un peu plus les choses à propos de la pixel-folie et de la catastrophe psychique qu'elle montre par sa démesure et sa prolifération je dirais que l'impossible pouvoir-écrire que je suppose est peut-être lié à l'effondrement de la clé de voûte psychique c'est à dire la capacité métaphorique et métonymique qui soutient l'écriture. "
Ca c'est sûr, la vôtre de voûte, elle est blindée de chez blindée. Plus étanche à tout, ça va carrément être  dur.





Mes deux dernières interventions sur Wizzz :


1/ Paradis des homidées : la question du tonton : "parce que vous l'avez élu"
 http://wizzz.telerama.fr/paradisdeshomidees/blog/863727605
Merci à Kronique la wizzzmaskokote, pour "le loup et l'agneau"
Sa page est en phase de purification, sLv.
Télérama s'est fendu d'un mail de menaces ma pomme foulé son poignet d'écrivain  pour cette seule pageolien à supprimer : l'est gentil hein ?
http://et123.free.fr/coms5/wizzzmaskokote.html
Il n'y avait même pas son logo ni sa mise en page dessus.
Des portions de photos d'écrans, ça leur a suffit pour se lancer à ces porcs.
Et il m'a bien répété que ses mails ne devaient surtout  pas être publiés...
Chez lui, les histoires commencées en public, ça devient to full privé :
FER'BOTEN !
ou tu vas KOUTER DE MA4SS TRIQU E !


2/ "L'envol", ou : "parle à mon cul, ma tête est malade. "






.

lundi 21 février 2011

Retrouver

Peignant, une paix s'installe parfois.

Très souvent.

Un Esprit venu d'avant ; d'avant les soucis des courses sans haleine, des horizons comètes flamboyantes soudainement dissipées  vanités garde à vous
C'est entrer dans univers de formes où il n'est d'autre création que celle de toute origine ; celle du Monde.
xd. C'est regarder les possibles s'installer, faire lit, rives, méandres illuminés ou points de noirceurs en plongées de damnation. C'est regarder ses propres mains raconter sans faille sa propre histoire pour soi ; pour les autres.

Pourquoi serait-elle fausse, pourquoi raconterait-elle autre chose que sa propre vérité dans la clarté de ce qu'elle croit ?

 
Un nazi.(e)
Voilà ce que tu es ; tu me dis sans arrêt : dis-moi qui je suis.
Alors je te le dis : tu es un nazi.

Pourquoi raconterais-je autre chose que ma propre vérité dans la clarté de ce que je crois ?

J'ai pourtant cherché, si si, je t'assure, à trouver d'autres mots.
no-stroumpf ; singe ; macaque ; aveugle des tropiques ; nazique ; pirthékantrop ; ss

Il y a un moment où il faut bien se résoudre à appeler un chat un chat.

On peut promouvoir dis mille mots pour emballer la cacahouète, quand il y en a déjà un qui l'encolle pile-poil, l'utilité, la pertinence d'en inventer un autre se fait rare.



Alors tu vois cette note, c'est ce que j'appelle une sortie d'atelier uralsh sur le blog : http://wizzz.telerama.fr/avis
Deux gouttes se suivent sur la vitre embuée. Parfois, l'une semble s'arrêter... repart...
D'où je suis, je peux voir les deux.
Je suis l'une ou l'autre. 

C'est très dangereux, rapport au morcèlement,

faut s'appeler Popeye ! au moins...
ie rigole : suffit de savoir
qui on est


et y'a ta pipe qui démarre au quart de tour,
...normalement-ndr-§

mercredi 16 février 2011

Rideau

pfff... no comment.

lundi 14 février 2011

mercredi 9 février 2011

tripom 16/9 vertical

tripom 16.9eme vertical

Aller à...

Ils avançaient par élimination physique et mentale autour d'eux,
des pirthékantrops,
égarés,


... par chemins des ronces des rances

lundi 7 février 2011

La tarte aux pommes

Pour 6 personnes :

  • pâte brisée
  • 5 ou 6 grosses pommes
  • 156 g de sucre
  • 2 oeufs
  • 22 cl de crème fraîche
  • cannelle

modifiée depuis : http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/recette/317469/1107817517/tarte-aux-pommes-a-la-cannelle.shtml

1 Dérouler la pâte sur une table légèrement farinée. Garnir le moule à tarte de 26 cm, piquer le fond avec fourchette.

2 Disposer les pommes épluchées (coupées fines ou en morceaux, selon votre goût).

3 Saupoudrer d'une cuillère de sucre et ajouter de la cannelle, selon votre goût. Laisser au four à 213°C (thermostat 7) pendant 19 minutes. Surveiller que les pommes ne brûlent pas.

4 Préparer le flan avec les oeufs battus, le sucre, la crème et la cannelle.

5 Mettre au four pour 19 à 26 minutes.


Ca sent bon...


Et pour finir...
Tarte qui peut se manger froide ou tiède.

samedi 5 février 2011

Coquin de chat

Le mien s'appelle Pilou.
Ici, je dis le mien comme je dirais le tien : un chat n'est à personne : il est à tout le monde.
C'est l'évidence même :
que ceux qui ne sont pas d'accord lèvent le doigt :
j'ai des pommes à lancer dans les dis mille de mon p'tit sac, sLv.
Bref, comme dirait le singe du bronx qui bit aux pas répétitifs pour deux sous du kandirathon,
surfant radiateur étroit de son pas sûr, demi tour, OUHAAA ! t'as vu comment il fait ça ! j'ai un serpent à la maison ! ! !
Bref, pas de pépin, il me claque sa queue comme un coup de fouet sur la vitre.
On dirait une plume. Les poils terminaux en ont inxcrits les ultimes barbes.
Je joue un peu à l'appareil photo : je me déplace entre la transparence de la condensation essuyée et le paysage extérieur sombre sous l'éclat du ciel.

Puis je m'assoie. Je contemple les gouttes qui sortent de la plume.
Elles sont deux.
Elles se suivent.
Paralailes
Elles se suivent comme deux rivières préparant leurs premiers lits
comme deux oiseaux leur dis millième vol
deux poissons un gros un petit

Où crois-tu qu'elles vont selon tes critères liés à ton évolution ?
Ben en bas.
Pas besoin de sortir de St Cyr la mare à Ste marie pop'signe



oh mon Dieu !
Ces deux ans...
Qu'est-ce que que j'ai pu rigoler !

J'en rigole encore.
Quand j'entendais la fibrillation distinguée de vos armes sur la table,
en me disant top chrono y'a le ballot qui trambble du scrountch tatayoyo kit&tchak !

Bien sûr l'effet kiss cool.

Mes mots, mes mozimages perdues
parce que voyant un agent lavant, un flic des basses fosses communes, je le traitais très poliment suivant son rang de néonazique affiché à mes yeux, ce qui provoquait ma générale censure par peur d'un scandale planétaire, je ne vois guère que ça comme raison.

Et un néonazique de plus
dans la cohorte, lié à l'obscurantisme des ombres qu'il venait de défendre d'une main de fer.

de nouveau seul

ben ouais,
comme du temps de l'atelier, de sa solitude à former des toiles qui s'empilaient là, à l'abri des regards, pour un jour devoir choisir lesquelles seraient montrées, exhibées, critiquées, admirées, parfois.
Non.
Souvent.
Mais sans discussion possible.
Ma difficulté à perforer les flatteries peut-être. Dire à quelqu'un que ses "c'est bô", tu n'en as rien à foutre, prouve-le : achète et tais-toi, ça vexe toujours un peu puisque très souvent, c'est très exactement ce que recherchent ces personnes pour elles-mêmes, pour se croire en existence.
Bon, ie te dis pas que des fois, t'as pas envie de te tirer la minette à miaous, et ce, malgré une éthique de la fidélité ronde comme une auréole de St Antoine.

J'ai beaucoup copié les peintres. Picasso, bien sûr. Ses tableaux, ces sommes de culture, cette énergie qu'il sut mettre tout au long de sa vie, m'impressionnaient. C'était un Maître pour moi : j'avais cette croyance, cette foi pourrait-on dire, qu'il possédait une Perle pour tout cela.
Il n'était pas le seul.




Je n'ai jamais voulu croire à cette idée très répandue d'un Don qui serait donné à la naissance, comme un enfant élu, béni des Dieux.
Par exemple, je suis très convaincu de cette théorie qui dit que les enfants, cessant de dessiner vers 6, 7 ans pour se consacrer aux activités plus calculatrices que les scientifiques situent à gauche pour les droitiers, lorsque reprenant ce chemin, ils s'y relancent là où ils s'étaient arrêtés.
Et je confirme par expérience puisque une fois à l'intérieur d'une école des Beaux-Arts de Nancy pour ne pas la citer, j'arrachais très rapidement de longs gémissements plaintifs de la part de notre cher professeur de dessin académique, Mr Gérard Thon, pour ne pas le nommer, qui prônait assez justement la règle, le fil à plomb et le crayon with pouce coulissant et langue bien pendue.
Je crois que je me souviendrais toujours de cette fois, sLv, où il courrait dans tout le bâtiment parce qu'il avait fallut sortir l'étudiant trop musé à l'éthylique sur une civière : " tu rends compte ! C'est la première fois que j'ai un élève qui sort de mon cours les pieds devant !"
Bref. C'était d'autant plus dur pour moi que je n'en voyais pas plus l'utilité qu'un dessinphoto de Jean Le Gac.
M'enfin, au bout de trois ans fastidieux sur ce terrain-là, des déclics ont commencés à se produire.
Et là !
Et là !
Ben, pas grand chose sauf que les projets cursus design que je faisais y gagnaient incontestablement en séduction, sans contester les apports certains de cette "contrainte" dans leurs cheminements.

Barreau d'Or




vendredi 4 février 2011

Le ressort

C'est un jeu pour enfant.
Un ressort si souple et si long qu'il semble descendre les marches d'un escalier comme un animal vivant.
Celui-ci, d'un rayon supérieur à celui d'un bras, les extrémités sont soudées.
La soudure est si parfaite qu'elle n'est plus visible, comme les jambes en x du fauteuil de Mies Van der Rohe, où l'on ne sait plus distinguer la pièce maîtresse ni même s'il en existe une.



Je l'ai jeté dans une baignoire.
Il s'est comprimé à l'horizontal, aux parois.
Quand j'ai voulu quitter la pièce, la porte était fermée.

J'entre dans la spire.
Elle devient mon univers.
Quand je vois la blancheur arriver,
je me dirige vers elle. Je m'élance à peine :
elle m'attire.

Tam




Tam

La Porte audu Barreau d'Or

ilL m'ont ouvert une nouvelle Porte.
Est-ce moi qui avait frappé Là ?
C'est un Univers de la voie du milieu.
Il y a longtemps, un Esprit accompagné m'avait comprimé le coeur de ses longueurs d'ongles pénétrantes. Je m'étais réveillé, le rêve continua quelques secondes d'arrachement d'une douleur infinie toutimix réalités.
Je m'étais dit :
- ben j'crois que je vais Les laisser tranquille quelque temps, ça me semble plus sûr.

C'est une aiguille souple, une fibre, qui entre au canal lacrymal, le pénètre, s'y meut, gratte, danse, pour mille visions dont les yeux blancs apparaissent comme un repos d'échappatoires des plus incertains.

Le Temps n'y a pas la cadence occidentale, la longueur orientale :
ce Temps n'est pas le même.
Fulgurance de l'instant.

Sans rêve

Sans rêve, sans élan, je m'effondre sans même saisir  la peur d'un enfer.

Je les vois parler d'art, d'artistes, de photographes, de poètes... Aurait-il fallut que je sois célèbre pour qu'ils me considèrent ainsi ? J'ai pourtant consacré ma vie à cela.
Les artistes qu'ils "respectent" sont morts.
Ils savent tout, ne veulent plus rien apprendre, sont comme morts.

Quelle importance ?
Pourquoi me demander ce que j'aurais pu faire de mieux ?
C'était comme un troupeau fou, aveugle, incapable de s'arrêter 30 secondes.

Je suis un paslapaslala, un être culturel.
Ce que je rencontre sur mon chemin me modifie, modifie ma perception du monde et les réflexions qui s'y attachent.
Je sais n'être rien, ce rien et sa sphère de connaissances rayonnantes, passages entre  cet infini en moi et l'infini du monde.

Coeur mécanique

jeudi 3 février 2011

404

Je viens de m'apercevoir que les images de l'es pixels de Mehdi sont perdues. J'ai oublié de les sauvegarder, même la page "toutes les photos" qui en faisait la liste : 58
J'ai un goût amer.
Il faudrait que je récapitule ce qui manque. Ou ce qui reste. Tout cela me semble lourd.
Territoires de mort

Zut ! :)))
Je me croyais sur le blog " uralsh "
pfff... i'ai plus ma t^te !
Je pourrais changer les couleurs, pour ne plus me tromper.

mercredi 2 février 2011

Principe de précaution

C'est très vite fait un blog, même sur une plateforme italienne.
Il suffit de l'ouvrir,

de mettre
des images.
Des mots.
Et puis run run !

 la machine, 
en temps voulu,

en temps choisi,

sLv

lance,
une à une,
 l'écrite en pairs.
Et puis broute broute !
machine, en temps qu'elle veut,
engrange aux roboteurs de recherches,
des liens à des mosimages qui n'étaient que rêves.


ie te merde

enculé né°nazi

assassin des libertés

http://jacana.free.fr/train2/soleil-vif.html 


uralsh



Installation d'un atelier couvert :




Je l'ouvrirai peut-être un un jour

Qui sait ?

Alors je mets le lien, au cazou