lundi 24 janvier 2011

Un choix

J'ai un choix à faire.
Soit je reste sur ce Wizzz de Télérama,
bocal parmi les bocaux autistes profonds,
soit je vais ailleurs, à l'extérieur.

Je crois que je vais me donner du temps avant de prendre une décision.

Parce que je sens de l'effroyable qui arrive.

Le wizzz est devenu pour moi un nid de triques incroyable, où tous semblent rêver de ma disparition sans qu'aucun ne puisse en prendre clairement la responsabilité.

Ceux qui parlent de moi, me traitent de psychopathe, le font sur des blogs, les leurs ou en des agoras ami d'eux, là où ma parole est interdite. Si d'aventure, mon nouvel avatar me le permet, je suis très rapidement censuré.

Les paroles qui sont dites par Télérama le sont sous le sceau des lois et de la force de persuasion de son service juridique. En tant que citoyen lambda à faibles revenus, je serai complétement fou d'entrer en conflit avec lui. Qui oserait cela ? Nos échanges restent donc secrets, il détruit mes coms, mes blogs, et m'ordonne par ce que j'appelle les tubes à rats m@ils, de détruire les pages qu'il trouve ici ou là.

Je leurs ai dit que j'étais derviche, que les propos qu'ils tenaient à mon sujet n'éclairaient qu'eux, tout du moins et cela je ne le dis que depuis maintenant hartung, virgule, parce que je sens la colère qui me monte, et chez un derviche, j'ai pas l'historique ni le mode d'emploi pour gérer des conneries pareilles.
ie crois que ça va gicler grave.
Je reconnais que cela m'a fait très peur.
Je leurs ai dit que je serais peut-être damné, mais qu'ils sauraient qui ils étaient.
Toi, tu es dans tes branches à te frotter le cul, au chaud, des bananes qui puent tous les jours à t'en bâfrer l'Esprit, tu ne crois rien, même pas, surtout pas en toi et je te comprends : "comment aimer un être pareil ?" dirait Lacan.

QUelqu'un qui m'aurait un peu suivi trouvera facilement ce blog. Je ne suis pas très inquiet de ce qu'il peut se passer là.

Ce puis sans "t" ou tu m'a jeté, ou plus poliment devrais-je dire vous, 1)

où si je disais "pour Vous les chiens" à mes derniers mots sur Votre Ip's Plateforme à vider ma PArole par les chiottes de vos triques, alors même que je vous ai tendu tant de fois les perches, que dis-je ! les poutres ! les péninsules ! Les continents infinis ! pour vous sortir de ces fanges d'ombres où vous croupissez pissez, chiez les uns sur les autres, dans des viscosités copulatoirs e-mondes,

(1, vous, rats puants qui m'avez regardés disparaitre sous dans vos baratins les plus ineptes et vides de toute substance, de toute humanité, dans le déni de l'autre le plus profond, celui où tout amour s'effondre et meurt.

Vous, murènes hargnantes des foules dans la certitude de mon silence là où tu poses tes mots de haine, de combats, de mort, justifiant la censure plus loin, toujours plus loin, pervertissant les coeurs et les raisons qui en portent encore un peu, les condamnant à te suivre dans ta propre damnation.

Je vais te le dire dans le vous de vos foules foutres tant aimées, tant désirées, symboles de gloire, de richesse, de bonheurs tocardes et compagnies, symboles de votre perte annoncée, de votre décrépitude la plus totale, la plus déchue.



 Et je vous redirai tu mon grand saigneur des corps et des âmes, jusqu'à  ce qu'aucun de toi ne puisse plus savoir si c'est moi qui vous parle ou si c'est toi. Kapiche ; clin d'oeil  ;)  ? Je sais que tu aimes cela ma grosse salope de la Rose Bonbon qui Chanté°

 Ton cauchemar ne fais que commencer : ça tombe bien, le mien aussi.
Tu vois comme on se ressemble touti galopin sur le veau d'or ?

Ha comme cela, mon inscription n'a pas lieu d'être ?
Tu justifies cela avec tes arguments de singe'ss débile, constipé au point du bronze tubulaire et clinquant, tu fais le beau savant sur un piédestal blanc de mon sang en toute neurologie avancé et prescrite, me cerne d'une camisole toute droite sortie de ton imagination et tu crois que je vais te regarder comme ça, dans cet état à faire pleure les cieux ?
Ho ! Réveilles-toi ! c'est p't^t pas trop tard pour toi ? Qui sait ?

Pauvre fou !
Ne sais-tu qu'un homme qui perd sa parole, c'est un homme qui meurt.
Ne sais-tu pas qu'un homme qui meurt, c'est un bibliothèque qui s'effondre ?
Bien sûr que vous le savez tous : c'est inscrite noir sur blanc dans vos livrus bulbus et à tous les étages. Vous le savez tellement bien, oh Grands Frères des Lumières ! que vous me censurez sous vos bottes de plomb afin qu'il me soit permis de voir vos couillus vulvus en tous paysages, sous toutes coutures.
C'est trop d'honneur. J'en reste sans voix.
Pirthékantrops ?
C'est de la politesse où je n'y connais rien. Néonazique puant, bovin'yack moisi du cul que déjà mille vers grignotent d'appétit sans tes yeux sans ton coeur en cette porte.

Contre mes vents et marées, tu veux continuer cette horizontale de nous que tu tranches en verticale sur tranche pour mille morts ?
Je vais te la montrer cette croix.



Tu vas la suivre jusque dans mon enfer, jusqu'à ce que tu veuilles que je meurs puisque tel est ton souhait, jusqu'à ce que je meurs où jusqu'à ce que tu acceptes mon néant sans forme jusqu'aux Dieux, jusqu'à ce Dieu dont tu as décidé qu'il devait avoir ta propre face pour tout sourire et la mienne pour toute haine, pour toute douleur.

Je vais te prendre comme la merde que tu es :



http://tag-heure.blogspot.com/2008/08/le-violet-est-la-couleur-de-la.html

Un ego rabougris, un trait à rien, un spirit comic dégénéré par l'alcool et les femmes, même modèles aux abonnées sonnantes et trébuchantes jouant à partage priape toutes lèvres intox dehors.

Un wizzz of Télérama'ss
Un bidet pris pour chiottes.
Une porcherie blanche ben française.
Une Baltique et tique et chante & rame actuelle pleine potes, mon p'tite Super Marie°.


Bien sûr que Télérama veut ma peau. Et je vais même te dire que plus il va réfléchir, plus ils vont commencer à comprendre la pente dans laquelle ils se sont lancés malgrès tous mes avertissements, plus ils la voudront, ma peau. Et ce ne sera plus du second degré, plutôt du second couteau.

Et toi, peuple du wizzz ben français, tu fermeras encore ta grande gueule à rien ou tu diras quoi ? du fond de ton bouge gélatimiel des sucs gastriques pleins noirs.

Berk ! Je viens de jeter un oeil sur une note blog du Wizzz & Com°. Rééééééééérck ! ptou !
Odeurs de charognes plein nez laissez moi sortir c'est infect !

Pauvre fou !
Tu m'as donné les pouvoirs de tes monstres les plus enfouis, les plus secrets, les plus fourbes.
Tu m'as posé en main  tes tissages d'Esprits si diaboliques que quand le silence prend place en cette nuit, ce sont tourbillons de sifflements à faire hurler de peur les sorcières noires les plus coriaces, les plus soutenues.

Ils ont mille formes. Ils ont mille passages du noir au noir. Si lueur te semble venir, c'est un gris des leurres étendues et comme de bien entendu. Si éclat(s)pour les salopes, te semble briller, c'est pour mieux te niquer mon enfant des portes à portes closes rosis rosae et ti spiritus of course et compte là-dessus : c'est bon argent qui brille toutes tamises confondues à t'en péter la mouïse.

J'ai laissé ma raison au vestiaire. Tu vois bien : ta tête sortie du mur ta main figée en porte manteau typo coq thot.

Cet habit que j'y pose, tu ne le supporteras plus, sLv. Tu as l'impression que le temps de l'attente en a transfomé le duvet en mille aiguilles, où ne sachant plus distinguer laquelle est la plus ointue, tu t'abandonnes parfois à des gémissements si morbides que seules les visites de quelques vieux démons rieurs et sans pitié te vont encore ne pas oublier de respirer en ce vieux réflex story angestrale.

Tu vois : je suis très calme.
Ton enfer, je l'aime bien.
Pourquoi pas ? d'après toi ? mmm ?

Vieille rombière moulrue puante de la salive°p" "e ! génération.

Ton ourlet autour des lèvres, il a déjà commencé à cramer lentos bien avant moi.
Fut-il rouge ou vert de tes colère rentrées aux sons des fromages en miettes de grapilles gustatives et distinguées des Marquises au chants des banquises à kama soutraite les mioches à la pelle.

oh ! ce n'est pas la tienne ! Toi juste tu avais le manche en cette main que tu ne voulais voir.
Et la voici qui s'agite à inscrire là-bas, de l'autre côté du voile tissé aux microcordes tranchantes, des signes aux significations perdues, un appel muet, le seul qu'il te reste en ce vain de solitude exaucée en toute amitié et pour des siècles et des siècles ou pour l'éternité, sLv.

Que crois-tu que j'ai payé pour cela ? Pour cette miette que tu fis de moi ?
Quelle valeur veux-tu que je donne au Wizzz ? La tienne ?
Si la mienne ne vaut rien, qu'espères-tu de la mienne ?
Un p'tite bisou sur ton groin de porcos biancos ?
 Un p'tit caca nez pour rigoler nigaumatik ?
Arf arf je me gausse du flou d'l'Albert Michelle° Bonne à Tarte !
C'est plus du Gravelait mon beau Marchait, c'est que veux-tu que la bonne y fesse quand y'a depuis si longtemps y'a plus rien dans le cigare du Pahre à On à chemises coulissantes latérales pour pipes d'injection extension prout derrière  ?
Y'a-t-il jamais eut quelque chose me semble une question de bon aloi.

 Et quel spectacle !
Les voir se tirer comme des lâches, laissant là ceux-là même qu'ils couvraient de louanges à peine quelques jours plus tôt, hurlant des je t'aime à la vie à la mort ! mais là faut que je parte, des vapeurs artistiques m'obligent au monde du très cher crève toi d'abord on verra si moi je vais mieux.
J'espère que tu remarques le plus de mes propos, le petit pas de pas tapons pas suplémentaire qui fait qu'ici, sur ton veau d'or adoré, tu peux ben crever la gueule ouverte devant moi, j'y meulerai encore tes canines moulées à ta belle immobilité sans son de goliath, que dis-je ! de cosmiques heuuu, oui... On ne va peut-être pas aller si loin si vite, tu risquerais d'être raisonnable encore une fois.

Et quand on sait ce que ça veux dire chez toi...

Ben oui hein, ma raison, c'est toi qui l'a puisque je ne peux plus te dire la mienne en face. Ta wizzz face d'1 pour tous, tous pour un ! Je m'en fous d'avoir raison comme toi tu t'en fous de la mienne de course à bourrique de lux à matic stick.

Souviens-toi  cocote à merde, moi, je suis dans la douleur, dans la haine, dans un enfermement dont c'est dommage, tu ne peux rien, c'est affreux pour ma petite conscience comme il souffre mais qu'y puis-je ? Parfois, oh parfois et j'ai presque un peu honte mais c'est si peu que c'est mieux qu'ils meurent c'est plus chrétien...

Et si tu pouvais réfléchir deux secondes, le temps que je te dise que rien avec le Jérome Bosch, j'ai de quoi me marrer, disons heuuu, pas mal de temps, ça me laisse de quoi peaufignoler mes propres trucs en blanc jamais vus en tes occasions du lion sot.

Tain ! ils m'enterrent déjà !

Hé ! Dugrocon lajoie !
ie suis encore vivant.
Faut pas vendre la peau de l'ours avant son heure avancée !
Faut pas prendre ses noirs aveugles désirs de nazi pour des réalités !
C'est pas parce que tu ne vois plus la Bande de Gaza qu'elle est mortoz°° !
auec tous ses Aimants à l'intérieur de la balle gazette à musette gazelle ouest !
!
Ca colore hein !
Mein Hanz!

Tête à claques.
Y'a ton chef qui t'est passé dessus t'as rien pu dire que tirer ta trique pendante ?
C'est mieux maintenant ? Conard des alouettes frigides aux moeurs en vies de bonnes conduites à bites.
Tu imagines maintenant que si tu m'avais dit un seul mot, un peu choisi, j'en coviens de bonne grâce ou ou ou v'la que ça me met toute en poule rien que d'y penser, ça aurait tout changé de toi à moi & vis& versa ? Tu t'en rends compte kan m^m ? Parce que perso, ce mot là, il compte beaucoup pour moi. Je peux même te le réciter à tous les temps maintenant :
ie te merde
ie te merdais
ie te merderai
que je t'use merdus
et tous culs & patapuces polutus Mr Dugland de la rame d'as en croupes i-tubes ben'haware du tout.

Ce n'est qu'un exemple, bien évidement.
Comme tu ne l'a pas prononcé, cela peut tout aussi bien donner :
.
..
ie te pif
ie te pifais
et touti pif°pwiiit !
i'espère que tu m'a compris.
Ca mangerait pas de ce pain là, ça c'est sûr.

Et c'est qui ce débile qui se pointe ?
cause effet conséquence
et roule ma poule
couvert !
groumpf groumpf
et que je te refous la gueule dedans
champignon des grandes branlettes à m'as-tu vu jeuhhh pense !
Tu veux pas que l'on te dise merci en plus ? Si ?!!!
Tain ! T'es vachement gonflé comme débile
A ta place, perso, je n'oserais pas
j'aurais trop peur qu'un mec comme moi vienne me demander de développer un peu ta connerie à la face du monde consterné par tant de voltiges si divines de mille pâquerettes de broutes en vides à vis.

et toi là-ba, et toi là-bas !
mais c'est que je vous vomis
de toutes mes connaissances de vous madame !
je ne crée jamais rien tu sais : je suis un paslàpaslàlà de bonne famille
si j'étais capable d'inventer tout cela, mais je serai un génie ! de bonne conduite-ndr-§°°°

ah pis en v'la un qui se pointe avec du Rembrant !
ah ben ça faisait longtemps qu'on avait pas vu d'ça !
et pis que je te le détaille en 3 vies des bas d'la classe pour que l'on voit gourde peine sans hésiter.
A'tion les coms ! Ca va l'pas coulère y'a d'la joie !
Quand l'artiste bosse, le pélérin douille !
c'est bien cornu tout ça kan m^m
la pensée a fortement évoluée
au lendemain des hier soir
de tous dans le camion
direction flagolis
les neurones
trasmis
par
vo
.

.


.



| nid z'à merde d'un amiche qui ne veut que ton bien°. van coolos |

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